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La liste
Quand un homme étrange se présente à la gendarmerie et avoue avoir commis un crime, la Brigade de recherches est désemparée. L'inconnu reste totalement muet sur son identité et sur les circonstances des meurtres qu'il revendique. Pour seule piste, une phrase qu'il répète en boucle : "je les ai tous tués." Et une liste de quatre noms. Quatre victimes présumées, disparues dans la nature. Comment les retrouver, et comment savoir si elles sont encore en vie ? L'heure tourne.
L'adjudant Maxime Monceau, spécialiste du langage non verbal, doit boucler l'enquête avant la fin de la garde-à-vue. Car sans preuves ni victimes, le suspect sera remis en liberté et pourrait poursuivre sa folie meurtrière.
Le carnet des rancunes...
Depuis vingt ans, Sébastien Desmichelles note soigneusement dans un petit carnet rouge chaque offense, chaque affront, chaque blessure qu'on lui inflige. Il l'appelle son "Carnet des rancunes" . Collègues, voisins, amis, famille, personne ne le sait, mais personne n'échappe à sa liste. Un jour, chacun sera puni selon ce qu'il mérite. Aujourd'hui est l'anniversaire des 50 ans de Sébastien. L'heure de la vengeance a sonné.
Pour l'homme qui lui a fait le plus de mal, il a prévu un châtiment exemplaire : la mort. Ce soir, il ouvrira son Carnet des rancunes...
Plus fort qu’elle (poche)
Cette nuit-là, dans la banlieue chic de Bordeaux, Cécile, 44 ans, est réveillée par une voix familière : a Debout, il faut qu'on parle." Quelques instants après, elle est précipitée dans l'escalier de marbre de sa maison et tuée sur le coup. Aux origines du meurtre, la police le comprend très vite, il y a la liaison passionnée entre le mari de Cécile et son assistante, Raphaëlle. Liaison pour laquelle Raphaëlle a tout quitté, y compris ses enfants, métamorphosée par cet amour plus fort qu'elle. Qui a tué Cécile ? Le mari, la maîtresse ? Les deux ensemble ? Peu à peu, une manipulation parfaite se dessine sous nos yeux. Effrayante. Oppressante. Et, peut-être, fatale ?
Plus fort qu'elle
Cette nuit-là, dans la banlieue chic de Bordeaux, Cécile, 44 ans, est réveillée par une voix familière : a Debout, il faut qu'on parle." Quelques instants après, elle est précipitée dans l'escalier de marbre de sa maison et tuée sur le coup. Aux origines du meurtre, la police le comprend très vite, il y a la liaison passionnée entre le mari de Cécile et son assistante, Raphaëlle. Liaison pour laquelle Raphaëlle a tout quitté, y compris ses enfants, métamorphosée par cet amour plus fort qu'elle. Qui a tué Cécile ? Le mari, la maîtresse ? Les deux ensemble ? Peu à peu, une manipulation parfaite se dessine sous nos yeux. Effrayante. Oppressante. Et, peut-être, fatale ?
Et puis mourir
Plusieurs samedis d'affilée, alors que tous les services de police de France sont mobilisés par les manifestations des gilets jaunes, de meurtres sont commis dans les beaux quartiers de Paris. Cela pourrait être l'oeuvre d'un déséquilibré qui aurait poussé jusqu'à la vengeance les revendications de justice sociale, mais le commandant Jean-Yves Le Guen n'y croit pas. Avec son adjoint, le capitaine Patriziu Agostini, ils jouent contre la montre.
Car l'idée d'un " meurtrier gilet jaune " menace de faire l'objet de récupérations politiques qui ne feraient qu'empirer la situation - et le prochain samedi de protestations se rapproche ... Un polar d'actualité mêlant revendications sociales et vengeance personnelle - sur fond de Paris en état d'urgence.