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Ce que je n'ai pas su...
Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement.
C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul.
D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.
Du fond des âges (Poche)
Un thriller scientifique sur fond de d'expérimentation et de contamination virale. Nouvelle-Zélande. Un petit garçon court à perdre haleine dans les rues de Christchurch, poursuivi par un homme armé. Des coups de feu éclatent. A l'hôpital, on découvre que l'enfant a été porté disparu il y a trois ans. Il s'appelle Nateo, c'est le fils du célèbre explorateur Marcus Taylor. Pourquoi le retrouve-t-on maintenant ? Etait-il séquestré ? S'est-il enfui ? Et qui peut vouloir tuer un enfant de huit ans ? Un an auparavant, le glaciologue Marcus Taylor dirige une mission de scientifiques envoyés dans une base implantée en plein milieu de l'Antarctique.
Quand ils arrivent sur place, ils découvrent des bâtiments saccagés et déserts. L'équipe précédente a disparu sans laisser de trace. Quel lien y a-t-il entre la réapparition de l'enfant et cette expédition qui tourne au cauchemar ? Une chose est sûre. Il est trop tard pour avoir peur...
L'amour maternel
Jusqu'où peut aller l'amour maternel ? Dix autrices et auteurs incontournables s'aventurent à explorer le thème le plus périlleux et noble de la littérature... l'amour. Mais pas n'importe lequel, l'amour pur, inconditionnel, tout-puissant et inaltérable : L'AMOUR MATERNEL. Eclectiques et saisissantes, douces ou brutales, les nouvelles inédites de ce recueil sondent les diverses facettes du lien qui unit une mère et son enfant, les plus merveilleuses comme les plus sombres...
Ce que je n'ai pas su
Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement.
C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul.
D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.
Cinabre (Poche)
Un thriller sombre, asphyxiant, magistral L'Hôtel Ferdinand fut le théâtre d'un quadruple homicide dans les années 1980. Son directeur, Eugène Ferdinand, y massacra sa famille avant d'être abattu par la police. Toute sa famille sauf Richard, petit dernier miraculé qui décidera trente ans plus tard de rouvrir l'établissement... Les Rois de Pique sont six anciens camarades de promo qui ont fui l'hôpital pour se lancer en indépendants.
Lorsque l'un d'eux disparaît après avoir soigné une cliente de l'Hôtel Ferdinand, personne ne semble s'en émouvoir. Seul Elliot Akerman, infirmier sensible et sans concession, va partir à sa recherche. Pendant ce temps, Toulouse vit sous la terreur d'un tueur qui attaque ses victimes au sabre. Est-il isolé ? Et qui doit se sentir menacé ? Pour le capitaine Aubert et son équipe, c'est le début d'un combat sans fin contre une hydre voilée par des nappes de sang.
A propos de l'auteur Cinabre est le quatrième roman de Nicolas Druart après Nuit blanche (Grand Prix du Suspense psychologique, 2018), Jeu de dames (2019), L'Enclave (Prix de l'Embouchure, 2021). Infirmier de 35 ans établi à Toulouse, il excelle à décrire au scalpel les fêlures de l'esprit. "Shining à Toulouse". Le Point " Nicolas Druart nous offre un polar moderne, tendu, aux dialogues percutants.
Et nous, au bord du monde
Chassée de la demeure familiale, Nadine erre, incapable de trouver sa place. Jusqu'au jour où elle découvre Les Vignes. Une ancienne bâtisse à flanc de colline, défendue par une armée de chèvres et de merisiers. Un squat aux allures de paradis, le repaire de deux ours, Louis et Jean-Mi, aussi marginaux qu'elle. Sans demander et presque sans y penser, Nadine investit les lieux. Devient la troisième ourse.
Là, à l'ombre des Vignes, elle trouve une existence simple, rustique. Et plus qu'un point de chute, un endroit où oublier et tenter de vivre. Mais quand le monde pénètre par effraction dans ce paradis perdu, les souvenirs reviennent, l'enfer commence. Par la justesse de ses mots, Nathalie Sauvagnac réussit la prouesse de raconter la violence des hommes sans pour autant oublier la lumière des invisibles et des fracturés, ceux qui cherchent leur place, fût-elle au bord du monde.
O Pulchérie !
Déserté peu à peu par ses habitants, le village de Saint-Eloi dépérit. Un beau jour arrivent Sylviane et Norbert, les amoureux marginaux, qui prennent possession de la maison de la Morte. Leur arrivée va réveiller la petite communauté vieillissante. Norbert fait une cuisine divine et Sylviane fait des enfants. Pour qu'ils ne s'enfuient pas, le village tout entier prend en charge la famille, la protège du monde extérieur.
Pulchérie rebelle et sensuelle, Martian malade des autres, Nicomède indomptable et fragile, Albiane éternelle enfant qui parle avec les morts, sont les enfants sauvages et asociaux de la famille Lecoeur. La vie s'écoule, à l'abri de la maison. Jusqu'au jour où Pulchérie se met en tête de gagner le concours de majorettes local. Tout Saint-Eloi se mobilise pour que la jeune fille réalise son rêve. Et c'est alors que les murs de la maison commencent à s'effriter...
Les yeux fumés (Poche)
Au centre, il y a Philippe. Philippe qui vit dans une cité et passe ses journées à traîner, fumer et piquer des bières au centre commercial. Philippe, entouré d'une mère qui le déteste ouvertement, d'un père effacé qui a renoncé depuis longtemps et d'un frère aussi beau que bête. A côté, il y a Bruno, son pote baroudeur et destroy. Bruno qui raconte qu'il a fait le tour du monde et a connu les plus belles femmes, qu'il n'est là que de passage.
Autour, il y a les canards du parc qui s'étouffent avec des bouts de plastique, les gamins qui crient trop fort aux pieds des barres d'immeubles, les grues et les murs qui tiennent avec les dealers. Les petites violences du quotidien n'atteignent pas Philippe, tant qu'il y a de la bière et les histoires de Bruno pour inventer un autre horizon que celui des tours de béton. Jusqu'à ce qu'un drame vienne pulvériser son équilibre et déclenche la bombe à retardement...
Du noir bien serré, bouleversant d'humanité, qui ne ressemble pas à ce qu'on lit d'habitude. Christine Ferniot et Michel Abescat, Télérama. Un polar urbain qui distille une tension crescendo, plongeant le lecteur dans une atmosphère singulièrement oppressante. Delphine Peras, L'Express. Un beau roman noir. Claire Devarrieux, Libération.
Cinabre
Cinabre, c'est la couleur de l'hôtel le plus chic de Toulouse, étau de velours fréquenté par une clientèle fortunée. Un rouge minéral qui rappelle la couleur du sang. L'Hôtel Ferdinand fut le théâtre d'un quadruple homicide dans les années 1980. Son directeur, Eugène Ferdinand, y massacra sa famille avant d'être abattu par la police. Toute sa famille sauf Richard, petit dernier miraculé. C'est lui-même qui décidera trente ans plus tard de rouvrir l'établissement...
Mais on n'efface pas à coups de travaux monumentaux une réputation sulfureuse. Les Rois de Pique sont six anciens camarades de promo qui ont fui l'hôpital pour se lancer en indépendants. Lorsque l'un d'eux disparaît après avoir soigné une cliente de l'Hôtel Ferdinand, personne ne semble s'en émouvoir. Seul Elliot Akerman, infirmier sensible et sans concession, va partir à sa recherche. Pendant ce temps, Toulouse vit sous la terreur d'un tueur qui attaque ses victimes au sabre.
Est-il isolé ? Et qui doit se sentir menacé ? Pour le capitaine Aubert et son équipe, c'est le début d'un combat sans fin contre une hydre voilée par des nappes de sang. A propos de l'auteur Cinabre est le quatrième roman de Nicolas Druart après Nuit blanche (Grand Prix du Suspense psychologique, 2018), Jeu de dames (2019), L'Enclave (Prix de l'Embouchure, 2021). Infirmier de 35 ans établi à Toulouse, il excelle à décrire au scalpel les fêlures de l'esprit et offre ici un thriller sombre, asphyxiant, magistral.