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Sang d'encre à Marrakech
1952 : les corps de deux prostituées portant sur le ventre le même tatouage sont découverts à Casablanca. Le commissaire Renaud se serait bien passé de cette délicate affaire. Il demande de l'aide à Gabrielle Kaplan, et leur enquête s'oriente vers Bousbir, le fameux "quartier réservé" de la ville. Mais bientôt on compte d'autres victimes tatouées, un médecin, une religieuse... Quels terribles secrets se cachent derrière ces assassinats ? Gabrielle tiendrait-elle une piste sérieuse du côté de Marrakech ? Et ne court-elle pas au-devant de dangers dans ces paysages montagneux de l'Atlas ?
Crépuscule à Casablanca
Casablanca, 1951. Gabrielle Kaplan, détective privée téméraire et pétillante, se voit confier une affaire a priori banale : récupérer des documents chez la femme d'un riche industriel en plein divorce. Pourtant, une fois ces documents remis, des meurtres s'enchaînent et Kaplan est traquée par des barbouzes de tout poil. CIA, truands corses et hommes politiques du protectorat s'entrecroisent dans ce Maroc d'après-guerre qui commence à rêver d'indépendance...
Noir comme l'orage
Quatre scènes de crime. Sept victimes. Une seule arme : la foudre. Après une nuit d'orage, alors que la saison touristique commence à peine, des corps sont découverts sur l'île d'Oléron et ses alentours, attachés à des pieux métalliques plantés dans le sable face à l'océan, foudroyés. Sept dépouilles au total. Et des modes opératoires très proches. Le capitaine Max Fontaine, en poste à la PJ de La Rochelle, va aussitôt être chargé de l'affaire.
Sa priorité : trouver le lien qui unit les victimes pour espérer remonter jusqu'à leur assassin. Il ne se doute cependant pas de la douloureuse épreuve personnelle qu'il s'apprête à traverser, ni de la solitude, de l'impuissance et de la rage qui vont l'habiter durant cette enquête. Car de nombreux obstacles se dresseront sur sa route avant de pouvoir accéder à la vérité.
Thanatéa (Poche)
Sur cette île qui ne figure sur aucune carte, les morts sont rois. Thanatea. Un nom qui sonne comme celui d'une femme ou d'une déesse. Un mot plutôt agréable, exotique, à condition de ne pas en connaître la racine grecque, thanatos, la mort. Le plus long des voyages. L'éternité. Une autre qu'Esther aurait sûrement pris peur mais, durant ses années passées à la police judiciaire, celle-ci a côtoyé la mort sous ses aspects les plus sombres, les plus violents.
Un quotidien qui l'a usée, au point d'être prête à tout quitter pour rejoindre cette entreprise de pompes funèbres située au coeur du lac Léman. Et même si ce nouvel environnement s'annonce quelque peu macabre, au moins elle n'aura plus à voir les stigmates d'un meurtre sur la chair, les organes, les os. Là-bas, la mort sera un concept, du marketing, elle sera travaillée, pensée, enrobée dans du velours ou du satin.
Là-bas, Esther espère trouver enfin la paix...