
Tokyo
Quand Grey débarque à Tokyo sans argent ni bagages, elle a beaucoup à prouver et encore plus à cacher. Rapidement, elle trouve un toit et un emploi dans un club à hôtesses très privé. Ses clients ? Des yakuzas et un étrange infirme accompagné d’une nurse à la silhouette monstrueuse…
Le but de ce voyage : retrouver un mystérieux film à l’existence contestée datant de l’invasion de la Chine par les Japonais. Un seul homme pourrait aider Grey. Un survivant du massacre qui refuse de répondre à ses questions...
« [Elle] entre au panthéon des grandes. Des très grandes. » M.-F. Rémond – Le Nouvel Observateur
Cet ouvrage a reçu le Grand Prix littéraire des lectrices de ELLE
Birdman
Dans un terrain vague de la banlieue de Londres, une pelleteuse exhume cinq cadavres de femmes. Un seul lien unit tous ces corps tailladés puis recousus : un oiseau a été enfermé à l'intérieur de chaque cage thoracique.
C'est avec ces meurtres en série que l'inspecteur Jack Caffery inaugure son nouveau poste au Service régional des enquêtes sensibles. Entre l'hostilité de certains collègues, sa vie conjugale étouffante et la tension grandissante avec un voisin qu'il soupçonne d'être responsable de la disparition de son propre frère, Caffery est mis à rude épreuve. Mais l'enquête dont il est chargé est de celles qui font oublier tout le reste.
« Digne du chef-d'œuvre Dragon rouge. » Bruno Corty – Le Figaro littéraire
Proies
Alors qu'elle dépose ses courses dans le coffre de sa voiture, une femme est jetée au sol par un individu qui prend la fuite à bord du véhicule. Selon la police, pour laquelle il ne s'agit que d'un banal fait divers, l'agresseur ne s'est sans doute pas rendu compte de la présence d'une fillette sur la banquette arrière. Mais le scénario s'assombrit : l'enfant reste introuvable et une deuxième petite fille disparaît dans les mêmes circonstances. Le ravisseur ne tarde pas à se mettre en contact avec la police... À nouveau, le commissaire Jack Caffery et le sergent Flea Marley vont plonger dans l'horreur à l'état pur.
« Mo Hayder est une grande. Très grande. »
Brigitte Hernandez – Le Point
Viscères
Il y a quinze ans, dans les bois de leur maison de campagne, les Anchor-Ferrers découvraient les dépouilles d'un jeune couple massacré.
Il leur a fallu du temps pour revenir... Et oublier.
Et voilà qu'aujourd'hui pour Oliver, Matilda et Lucia, leur fille instable, un nouveau cauchemar commence. Isolés du village et du monde, soumis aux jeux pervers de deux intrus, ils replongent dans l'horreur. Que veulent ces hommes ? Pourquoi leur famille ? Est-ce lié aux meurtres du passé ? Aucune certitude sinon celle-ci : celui qui meurt a perdu.
« Un must. » Le Monde
« Une réussite. » Télérama
« Avec Mo Hayder le lecteur n'est jamais en sécurité. » Le Figaro littéraire
L'homme du soir
Brockwell Park. Chaque allée, chaque fourré grouille de policiers en chasse. Un hélicoptère survole le jardin public. Et l'inspecteur Jack Caffery redoute le pire... Du petit Rory Peach ne reste plus qu'une basket tachée de sang.
Chez les enfants du coin, la rumeur enfle : voilà quelque temps déjà qu'un certain « troll » les poursuit jusque chez eux. Fantasme de gosses ? Caffery, dont le frère a disparu vingt ans plus tôt dans des conditions similaires, sent refluer d'amers souvenirs. À l'époque, lui-même n'a-t-il pas instinctivement soupçonné Penderecki, son voisin, pédophile reconnu mais jamais démasqué ?
Fétiches
Des chuchotis dans les ténèbres. Une cavalcade étouffée dans les couloirs. Des gémissements. Les nuits sont rudes et effrayantes à l'établissemet psychiatrique haute sécurité de Beechway... Pour le personnel comme pour les patients. On murmure que le fantôme de « La Maude », la cruelle infirmière de tous leurs cauchemars, serait reparue. Hallucination collective ? Autosuggestion ? Lorsque des malades commencent à se mutiler et que des morts suspectes surviennent, l'infirmier en chef, AJ, décide d'alerter le commissaire Jack Caffery. La folie rôde, l'horreur est en marche et ne demande qu'à s'évader...
« Un livre glaçant, à conseiller à tous... sauf aux âmes sensibles. » Le Parisien