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L'amour maternel
Jusqu'où peut aller l'amour maternel ? Dix autrices et auteurs incontournables s'aventurent à explorer le thème le plus périlleux et noble de la littérature... l'amour. Mais pas n'importe lequel, l'amour pur, inconditionnel, tout-puissant et inaltérable : L'AMOUR MATERNEL. Eclectiques et saisissantes, douces ou brutales, les nouvelles inédites de ce recueil sondent les diverses facettes du lien qui unit une mère et son enfant, les plus merveilleuses comme les plus sombres...
Crime d'initiés
Dans un restaurant du Trastevere, deux hommes d'affaires, un Italien et un Chinois, échangent en anglais. Pas un mot n'échappe aux enquêteurs de la Guardia Finanza, planqués dans une camionnette banalisée. Leur cible ? Giancarlo Magnanini, avocat au barreau de Rome et... patron dans la Cosa Nostra et Shi-Ming Wong, un ressortissant chinois de Canton. Soudain, l'Italien lâche : "Anvers, rendez-vous la semaine suivante...
" L'information est aussitôt relayée aux policiers belges de l'Office de répression de la corruption. Deux préoccupations s'imposent : repérer la marchandise et découvrir qui est ce monsieur Wong. Commence alors une traque dans les milieux de la corruption qui gangrène le port d'Anvers. Pour la combattre : les techniques d'investigation les plus modernes et deux flics particulièrement motivés. Le roman plonge le lecteur dans le monde bien réel des organisations criminelles, dont les trafics de contrefaçons subtilisent chaque année à l'économie légale 350 milliards ?
Ce que je n'ai pas su
Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement.
C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul.
D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.
Le carnet des rancunes...
Depuis vingt ans, Sébastien Desmichelles note soigneusement dans un petit carnet rouge chaque offense, chaque affront, chaque blessure qu'on lui inflige. Il l'appelle son "Carnet des rancunes" . Collègues, voisins, amis, famille, personne ne le sait, mais personne n'échappe à sa liste. Un jour, chacun sera puni selon ce qu'il mérite. Aujourd'hui est l'anniversaire des 50 ans de Sébastien. L'heure de la vengeance a sonné.
Pour l'homme qui lui a fait le plus de mal, il a prévu un châtiment exemplaire : la mort. Ce soir, il ouvrira son Carnet des rancunes...
Plus fort qu’elle (poche)
Cette nuit-là, dans la banlieue chic de Bordeaux, Cécile, 44 ans, est réveillée par une voix familière : a Debout, il faut qu'on parle." Quelques instants après, elle est précipitée dans l'escalier de marbre de sa maison et tuée sur le coup. Aux origines du meurtre, la police le comprend très vite, il y a la liaison passionnée entre le mari de Cécile et son assistante, Raphaëlle. Liaison pour laquelle Raphaëlle a tout quitté, y compris ses enfants, métamorphosée par cet amour plus fort qu'elle. Qui a tué Cécile ? Le mari, la maîtresse ? Les deux ensemble ? Peu à peu, une manipulation parfaite se dessine sous nos yeux. Effrayante. Oppressante. Et, peut-être, fatale ?