
Filtres actifs
Au coeur du cirque...
Un privé aussi désabusé qu'alcoolisé, prototype de l'anti-héros, lancé sur les traces d'un terrible tueur en série, parviendra contre toute attente à résoudre une diabolique enquête, grâce à son esprit de déduction et à son ingéniosité. Un spectaculaire jeu de piste dans un Paris clandestin. Le privé Plamensen est engagé par un étrange et richissime collectionneur obsédé par les tueurs en série.
Ce dernier lui propose d'enquêter sur le sinistrement célèbre Jonathan Mörgn, dont les victimes étaient toutes des sans-abris du métro parisien. La folie criminelle de Mörgn a pour point culminant la mise à mort par noyade de cinquante victimes dans un ancien bunker. Le psychopathe, pour entretenir sa légende, aurait dissimulé juste avant sa disparition des pictogrammes, dessinés à la main, au terminus de chaque station.
Plamensen, le sarcasme arrosé au whisky, va tout faire pour éviter de se frotter à cette sale affaire. Pourtant, elle va finir par le rattraper, et il n'aura d'autre choix que de se salir les mains pour découvrir ce que dissimulait cet assassin aux sinistres desseins. Pour affronter les ténèbres du cour humain, la dérision est parfois une arme impitoyable. Plamensen, en dépit de son esprit souvent embrumé, n'a pas son pareil pour la dégainer.
Dans le dédale du métro et les entrailles du ventre de Paris, Norman Jangot nous dérange, nous déroute et nous offre un polar d'une singularité redoutable.
L’œuvre du serpent...
Paris est en ruine à la suite d'une catastrophe planétaire. Alors que la reconstruction est au coeur de toutes les préoccupations, des individus développent une étrange faculté, provoquée par l'onde de choc : celle d'interpréter les coïncidences du quotidien et de déchiffrer les signes. Certains de ces êtres hors normes, baptisés les Pythons, sont recrutés par la police pour traquer les criminels avec une efficacité redoutable.
Mais lorsque l'un de ces Pythons décide de prendre ses pairs à leur propre piège, c'est toute la société, déjà sur le fil, qui vacille. A moins qu'un ancien Serpent au flair légendaire, Nathaniel Loppe, disparu des radars après un terrible accident, ne reprenne du service pour pister ce serial killer à travers le dédale d'une capitale éventrée. Lui à qui aucune enquête n'a jamais résisté va être confronté à une vérité à laquelle nul n'est préparé.
Polar d'anticipation, récit d'une vengeance impossible, fable sur le monde moderne et son inéluctable faillite, L'Ouvre du Serpent est un roman inclassable, un jeu de piste, où l'art, la physique quantique et Carl Jung se conjuguent au présent pour nous inviter à une expérience immersive, spectaculaire et inédite.
L’œuvre du serpent
Paris est en ruine à la suite d'une catastrophe planétaire. Alors que la reconstruction est au coeur de toutes les préoccupations, des individus développent une étrange faculté, provoquée par l'onde de choc : celle d'interpréter les coïncidences du quotidien et de déchiffrer les signes. Certains de ces êtres hors normes, baptisés les Pythons, sont recrutés par la police pour traquer les criminels avec une efficacité redoutable.
Mais lorsque l'un de ces Pythons décide de prendre ses pairs à leur propre piège, c'est toute la société, déjà sur le fil, qui vacille. A moins qu'un ancien Serpent au flair légendaire, Nathaniel Loppe, disparu des radars après un terrible accident, ne reprenne du service pour pister ce serial killer à travers le dédale d'une capitale éventrée. Lui à qui aucune enquête n'a jamais résisté va être confronté à une vérité à laquelle nul n'est préparé.
Polar d'anticipation, récit d'une vengeance impossible, fable sur le monde moderne et son inéluctable faillite, L'Ouvre du Serpent est un roman inclassable, un jeu de piste, où l'art, la physique quantique et Carl Jung se conjuguent au présent pour nous inviter à une expérience immersive, spectaculaire et inédite.
Ce que je n'ai pas su...
Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement.
C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul.
D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.
Liberté !
Liberté d'expression, de rassemblement, de circulation : ces droits fondamentaux recouvrent des réalités très différentes mais sont menacés partout, y compris près de chez nous. Dix grandes voix du polar français se mobilisent pour leur défense en nous offrant des textes inédits et puissants, qui poussent à la réflexion et à l'engagement.
À la gorge
Dans quelques jours, ça fera dix ans qu’Émilien « Milou » Milkovitch a été condamné pour avoir étranglé un jeune couple. Après lui avoir rendu visite, Victor Caranne, psychologue carcéral à la prison de l’île de Ré, se met à douter sérieusement de sa culpabilité. Mais s’il veut l’aider, il va falloir faire vite : le détenu affirme qu’il se suicidera dans une semaine, le jour anniversaire de son incarcération. Victor et Anaïs, la jeune flic de la PJ de La Rochelle avec laquelle il a tissé de solides liens, vont se jeter à corps perdu dans un contre-la-montre à haut risque.
En 2020, Max Monnehay initiait les enquêtes de Victor Caranne avec Somb, plusieurs fois primé, suivi de Je suis le feu (2022). Avec ce troisième volet, elle est au sommet de son art.
Le premier fils
QUAND LA VENGEANCE EST PLUS FEROCE QUE LE CRIME TREMBLEZ POUR VOS FILS... Gaza, 2001 Un enfant est abattu en direct, devant des caméras, lors d'un accrochage entre Palestiniens et soldats israéliens. Des deux cés, certains crient au complot. Beyrouth, 2002 Un chef de faction impliqué dans la mort du petit garçon de Gaza est assassiné. 2022 Trois meurtres de sniper. Le premier, dans le delta du Tigre, en Argentine.
Le deuxième, à Saint-Pierre-et-Miquelon. Le troisième, dans les calanques, du cé de Marseille. Chaque fois, les victimes sont des enfants. Chaque fois, le tireur abandonne son arme. Avec trois munitions non tirées, marquées des lettres TFS. Très vite, il apparaît que les grand-pères des victimes ont en commun un passé militant agité. L'un dans les factions libanaises au Proche-Orient, l'autre comme armurier de l'ETA basque, le troisième au sein de la mouvance palestinienne.
Chargé des deux premières enquêtes par le "Service" , l'agent Karakozian, dit Kara, va devoir remonter le cours de l'histoire. Au risque de se retrouver lui aussi la cible d'une vengeance féroce, aveugle, impitoyable.
L'amour maternel
Jusqu'où peut aller l'amour maternel ? Dix autrices et auteurs incontournables s'aventurent à explorer le thème le plus périlleux et noble de la littérature... l'amour. Mais pas n'importe lequel, l'amour pur, inconditionnel, tout-puissant et inaltérable : L'AMOUR MATERNEL. Eclectiques et saisissantes, douces ou brutales, les nouvelles inédites de ce recueil sondent les diverses facettes du lien qui unit une mère et son enfant, les plus merveilleuses comme les plus sombres...
Ce que je n'ai pas su
Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement.
C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul.
D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.
Manhattan Sunset (Poche)
Un New York sombre et violent, avec des rues comme des canyons dans lesquels la vie se perd et la mort s'engouffre. Avec fracas parfois, comme lorsqu'elle vient saisir une petite fille, retrouvée assassinée, le corps mutilé, au milieu d'un amas d'épaves de voitures. En équilibre précaire, accroupi tout en haut d'une pile de carrosseries déglinguées, Pfiffelmann interroge son partenaire, l'inspecteur Donnelli : "Alors, tu en dis quoi ? " Un début d'enquête somme toute normal.
Sauf que "Pfiff" est un fantôme, qui exige lui aussi la vérité sur les circonstances de sa mort. Comme si Donnelli n'avait pas déjà tout son soûl de crimes, d'obsessions et de vengeances. Comme si la ville ne lui avait pas déjà arraché un lourd tribut. Pourtant, une fois par an, New York lui offre aussi un instant magique, lorsque le soleil couchant symétrique et flamboyant du Manhattanhenge prend la 42e rue en parfaite enfilade.
Une illumination divine, comme la révélation d'un indice éclaire un crime d'une lumière nouvelle. Avant que tout, la ville comme la vie de Donnelli, ne sombre à nouveau dans la nuit. Un polar noir et puissant, dans une ville que l'on croit connaître mais dont Roy Braverman fait un portrait inédit, aussi tragique et attachant que ses autres personnages, aussi à l'aise dans l'humour que dans le suspense, et porté par une écriture remarquable.
Je suis le feu (Poche)
La Rochelle, mois de juillet. Une femme est retrouvée égorgée chez elle face à son fils de dix ans ligoté, qu'un bandeau et un casque audio ont préservé de l'intolérable spectacle. C'est la deuxième en l'espace de quelques semaines et les flics n'ont pas la moindre piste. Le commissaire Baccaro va alors faire appel à Victor Caranne, psychologue carcéral et oreille préférée des criminels multirécidivistes de la prison de l'île de Ré.
Mais le tueur est une ombre insaisissable qui va bientôt faire basculer la ville dans la psychose.
Je suis le feu
La Rochelle, mois de juillet. Une femme est retrouvée égorgée chez elle face à son fils de dix ans ligoté, qu'un bandeau et un casque audio ont préservé de l'intolérable spectacle. C'est la deuxième en l'espace de quelques semaines et les flics n'ont pas la moindre piste. Le commissaire Baccaro va alors faire appel à Victor Caranne, psychologue carcéral et oreille préférée des criminels multirécidivistes de la prison de l'île de Ré.
Mais le tueur est une ombre insaisissable qui va bientôt faire basculer la ville dans la psychose.