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Ce que je n'ai pas su...
Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement.
C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul.
D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.
L'affaire Rose Keller...
Voici le premier tome de la trilogie consacrée au marquis de Sade.
Rose Keller est sans emploi depuis plus d'un mois. En ce dimanche de Pâques du 3 avril 1768, elle est réduite à mendier sur la Place des victoires, à Paris. En acceptant de suivre, pour un écu, un jeune homme soigneusement habillé qui a besoin de quelqu'un pour un peu de ménage, la jeune femme ne peut se douter qu'elle se dirige tout droit vers l'enfer. Elle ne sait pas encore que l'homme qui vient de l'engager n'est autre que Donatien Alphonse François de Sade, celui que l'on surnommera le Divin marquis...
Ludovic MISEROLE nous invite à rencontrer des personnages méconnus de notre histoire. Avec un talent indéniable, Ludovic MISEROLE combine la vérité historique, puisée minutieusement dans les sources, et le romanesque pour mettre en scène un passé révolu.
L'amour maternel
Jusqu'où peut aller l'amour maternel ? Dix autrices et auteurs incontournables s'aventurent à explorer le thème le plus périlleux et noble de la littérature... l'amour. Mais pas n'importe lequel, l'amour pur, inconditionnel, tout-puissant et inaltérable : L'AMOUR MATERNEL. Eclectiques et saisissantes, douces ou brutales, les nouvelles inédites de ce recueil sondent les diverses facettes du lien qui unit une mère et son enfant, les plus merveilleuses comme les plus sombres...
Ce que je n'ai pas su
Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement.
C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul.
D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.
Zamor - Le nègre...
Zamor... Il n’aura laissé qu’un vague souvenir, un certain malaise même.
Enfant indien, on l’arracha aux siens pour l’offrir à la favorite du roi de France, ce pays inconnu et si lointain. Il connut les ors de Versailles et les moulures de Louveciennes à l’ombre de Madame du Barry. Advint la révolution et avec elle l’opportunité de prendre en main sa destinée.
Certains choix et certaines amitiés ne seront pas sans conséquences. Celui qu’on appelait « le nègre de la Dubarry » devint alors le nègre républicain portant même le surnom peu glorieux de l’ami Zamor.
Mais qui était vraiment Louis-Benoît Zamor ?
Rosalie Lamorlière -...
Un destin ! Celui d'une petite provinciale, fille de cordonnier, qui va croiser celui de la Reine Marie-Antoinette au détour des couloirs sombres et malodorants de la Conciergerie. Une fille du peuple qui rencontrera et assistera les puissants d'hier et les parvenus d'une France qui se cherche. Tous, ou presque, mourront. Elle, la survivante, apportera son témoignage bien plus tard. Relation inestimable pour bon nombre d'historiens qui, pourtant, n'ont jamais essayé de connaître Rosalie Lamorlière.
Premier ouvrage d'une saga historique en deux tomes Rosalie Lamorlière - Dernière servante de Marie-Antoinette fait état du témoignage inestimable de celle qui la connût le plus intimement, et fut au cœur des affres de la Cour.