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La malédiction
Meurs, mon ange (Poche)
Indonésie. Des corps décapités sont abandonnés dans des sites touristiques à Bali. Guntur, flic à Jakarta, est éloigné de son service par l'agence anticorruption et muté sur les lieux. Dans une forêt luxuriante, Eko et Taufik sont les cibles d'un ennemi dont ils ignorent tout.
Les enfants du serpent
Les dompteurs d'ombres
Le rêve des ombres
L'arracheur d'ombres
Et nous, au bord du monde
Chassée de la demeure familiale, Nadine erre, incapable de trouver sa place. Jusqu'au jour où elle découvre Les Vignes. Une ancienne bâtisse à flanc de colline, défendue par une armée de chèvres et de merisiers. Un squat aux allures de paradis, le repaire de deux ours, Louis et Jean-Mi, aussi marginaux qu'elle. Sans demander et presque sans y penser, Nadine investit les lieux. Devient la troisième ourse.
Là, à l'ombre des Vignes, elle trouve une existence simple, rustique. Et plus qu'un point de chute, un endroit où oublier et tenter de vivre. Mais quand le monde pénètre par effraction dans ce paradis perdu, les souvenirs reviennent, l'enfer commence. Par la justesse de ses mots, Nathalie Sauvagnac réussit la prouesse de raconter la violence des hommes sans pour autant oublier la lumière des invisibles et des fracturés, ceux qui cherchent leur place, fût-elle au bord du monde.
O Pulchérie !
Déserté peu à peu par ses habitants, le village de Saint-Eloi dépérit. Un beau jour arrivent Sylviane et Norbert, les amoureux marginaux, qui prennent possession de la maison de la Morte. Leur arrivée va réveiller la petite communauté vieillissante. Norbert fait une cuisine divine et Sylviane fait des enfants. Pour qu'ils ne s'enfuient pas, le village tout entier prend en charge la famille, la protège du monde extérieur.
Pulchérie rebelle et sensuelle, Martian malade des autres, Nicomède indomptable et fragile, Albiane éternelle enfant qui parle avec les morts, sont les enfants sauvages et asociaux de la famille Lecoeur. La vie s'écoule, à l'abri de la maison. Jusqu'au jour où Pulchérie se met en tête de gagner le concours de majorettes local. Tout Saint-Eloi se mobilise pour que la jeune fille réalise son rêve. Et c'est alors que les murs de la maison commencent à s'effriter...
Les yeux fumés (Poche)
Au centre, il y a Philippe. Philippe qui vit dans une cité et passe ses journées à traîner, fumer et piquer des bières au centre commercial. Philippe, entouré d'une mère qui le déteste ouvertement, d'un père effacé qui a renoncé depuis longtemps et d'un frère aussi beau que bête. A côté, il y a Bruno, son pote baroudeur et destroy. Bruno qui raconte qu'il a fait le tour du monde et a connu les plus belles femmes, qu'il n'est là que de passage.
Autour, il y a les canards du parc qui s'étouffent avec des bouts de plastique, les gamins qui crient trop fort aux pieds des barres d'immeubles, les grues et les murs qui tiennent avec les dealers. Les petites violences du quotidien n'atteignent pas Philippe, tant qu'il y a de la bière et les histoires de Bruno pour inventer un autre horizon que celui des tours de béton. Jusqu'à ce qu'un drame vienne pulvériser son équilibre et déclenche la bombe à retardement...
Du noir bien serré, bouleversant d'humanité, qui ne ressemble pas à ce qu'on lit d'habitude. Christine Ferniot et Michel Abescat, Télérama. Un polar urbain qui distille une tension crescendo, plongeant le lecteur dans une atmosphère singulièrement oppressante. Delphine Peras, L'Express. Un beau roman noir. Claire Devarrieux, Libération.
Meurs, mon ange
Indonésie. Des corps décapités sont abandonnés dans des sites touristiques à Bali. Guntur, flic à Jakarta, est éloigné de son service par l'agence anticorruption et muté sur les lieux. Dans une forêt luxuriante, Eko et Taufik sont les cibles d'un ennemi dont ils ignorent tout.
Ineffaçables (nouvelle...
Le mot de la fin
J’ouvre la porte du bureau de ma maison d’édition et mon pied droit se pose sur une enveloppe vierge. Je me baisse pour la ramasser et la déchire. Si le courrier est on ne peut plus classique point de vue forme, il en est tout autrement du fond.
« Cher enfoiré,
Cela fait maintenant un mois que je vous ai fait parvenir mon manuscrit. Et je n’ai pas reçu de nouvelles de votre part. Je n’en espérais pas moins. Les autres connards de votre espèce ne m’ont pas donné signe de vie non plus… »
Ma journée s’annonce longue. Et mouvementée.
... jeux de vilains
"Après un dernier signe de la main, il s'empara de son briquet et enflamma la mèche. Le feu se propagea inexorablement vers le véhicule dans lequel le futur grand brûlé, s'agitant comme un fou, venait de se déboiter les poignets et tentant de se libérer. Le tueur attendit que la torche humaine cesse de hurler avant de quitter les lieux, satisfait, le sourire aux lèvres."
La parole du chacal...
Réservez un séjour de rêve. Vivez un enfer.
Juillet 2027.
« Partez à la découverte du Mali et rencontrez son célèbre peuple, les Dogons!
Vous vivrez une expérience unique… »
Claire aurait dû suivre son intuition et renoncer à ce voyage. Elle se retrouve plongée en plein cœur de la savane africaine, coincée dans un village isolé où le temps semble s'être figé. Un véritable caveau à ciel ouvert dont il est impossible de sortir. L’expérience va se révéler un peu trop unique… et terrifiante. Claire craint pour sa vie et celle de Sacha, son fils de dix ans.
Pourquoi a-t-elle entraîné Sacha dans cet enfer? Et pourquoi, Armand, guide et spécialiste de la région, n’explique pas le comportement hostile des villageois alors qu’un étrange visiteur vient déposer chaque nuit de mystérieux objets près du garçon?
Clarence Pitz nous entraîne au Mali, aux confins de l’horreur, à travers un ethno-thriller singulier, machiavélique et d’une profonde intensité.
C’est noir, épais, moite et tordu jusqu’au bout… Et on aime ça. Brillant, excellent, époustouflant, haletant. Du tout bon suspense. Branchés Culture
Un livre riche et palpitant d’une rare originalité. Sangpages
La justesse des mots, la maîtrise des sujets et la documentation précise en font un récit rare, de qualité exceptionnelle. La Kaza de Papel
Jeux de mains...
Ce coup-ci n'était qu'un "essai" afin de m'assurer que je n'avais pas tout à fait perdu la main, mais, pour ma prochaine victime, je lui réserve une véritable petite œuvre d'art. Mon vieux Corduno, il va falloir te préparer à en baver grave. » Après deux années d'interruption, le tueur en série qui donnait des cauchemars au célèbre Inspecteur Principal David Corduno et à son équipe décide de refaire surface afin de poursuivre sa danse macabrement perverse. Le point commun de la sixième victime avec les précédentes ? Une nouvelle phalange emportée, mais à la main gauche, cette fois. Le sang-froid de Corduno va être mis à rude épreuve au cours de cette enquête bruxelloise ponctuée de traits d'humour et de bains de sang. Mais pourquoi le meurtrier semble-t-il si bien connaître son traqueur ?