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Les loups-garous...
Les beaux mensonges...
Certaines blessures ne disparaissent jamais... La première enquête de Céleste Ibar Céleste Ibar a dû quitter Paris et la BRI, où elle a passé dix ans, après une agression d'une brutalité extrême. Encore meurtrie, portant sur son visage les stigmates de sa séquestration, elle tente de retrouver une vie sereine. A peine nommée capitaine de police à la PJ de Nantes, où elle ne se sent pas la bienvenue, on l'envoie constater le suicide d'une riche industrielle.
Une affaire banale. Mais l'enquête se révèle terriblement troublante. Qui se cachait derrière la si respectable Anne Arnotte ? Céleste va déterrer un à un des secrets profondément enfouis, de ceux qui continuent de hanter les vivants. Et découvrira la part très obscure d'un monde où les apparences règnent, où les apparences tuent.
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De si bonnes mères
Dans le parc régional de Brière, où vit une petite communauté soudée autour d'un restaurant et d'un bistrot, se cache un criminel au sang froid qui mutile des femmes enceintes. Dépêchés sur les lieux, Céleste Ibar et son fidèle lieutenant sauront-ils déchiffrer les signes laissés par le tueur ? Céleste Ibarbengoetxea, capitaine à la PJ de Nantes. Un nom imprononçable. Un visage balafré. Un passé terrible : séquestrée et martyrisée, elle a survécu en faisant preuve d'une violence inhumaine.
Depuis, pour certains comme à ses propres yeux, Céleste Ibar est un monstre. C'est pourtant parce qu'elle est une épouse aimante, une mère attentive et une collègue dévouée qu'elle va résoudre l'une de ces tragiques affaires criminelles qui marquent un flic à jamais. Dans le Parc naturel régional de Brière, près de Guérande, deux îles abritent une petite communauté où habitants de toujours et nouveaux arrivants sont soudés autour d'un restaurant et d'un bistrot.
Mais ce monde apparemment très convivial cache un criminel qui mutile et assassine des femmes. Dépêchés sur les lieux, Céleste et son fidèle lieutenant, Ithri Maksen, doivent déchiffrer les signes laissés par le tueur. Or comment démasquer un monstre qui ressemble à tout le monde ?
Les beaux mensonges
Céleste lbar a dû quitter Paris et la BRI, où elle a passé dix ans, après une agression d'une brutalité extrême. Encore meurtrie, portant sur son visage les stigmates de sa séquestration, elle tente de retrouver une vie sereine. A peine nommée capitaine de police à la Pl de Nantes, où elle ne se sent pas la bienvenue, on l'envoie constater le suicide d'une riche industrielle. Une affaire banale. Mais l'enquête se révèle terriblement troublante.
Qui se cachait derrière la si respectable Anne Arnotte ? Céleste va déterrer un à un des secrets profondément enfouis, de ceux qui continuent de hanter les vivants. Et découvrira la part très obscure d'un monde où les apparences règnent, où les apparences tuent.
L'avocat, le nain et...
Quand on est avocat, spécialiste des affaires de divorce, coucher avec ses clientes est rarement une bonne idée. En fait, c'est même interdit. Mais lorsqu'il s'agit de Nolwenn Blackwell, un des mannequins les plus en vue du moment, difficile de résister. Hugues Tonnon s'est laissé tenter et mal lui en a pris. Au petit matin, deux flics viennent enfoncer le clou dans sa gueule de bois carabinée : Nolwenn a été assassinée.
Et puisqu'il est le dernier à l'avoir vue vivante - et de près - il est le principal suspect. Pour l'inspecteur Witmeur, il ne fait même aucun doute qu'il est coupable. Le flic a une revanche à prendre sur le baveux depuis que sa séparation lui a coûté une paire de faux seins...
Concerto pour quatre...
Jean Villemont, brillant avocat pénaliste, accepte par principe de défendre le jeune auteur d'un braquage foireux dans un bureau de poste. A ses côtés, Leila Naciri, une consoeur dont l'esprit affûté le charme autant que ses yeux noirs. Cette affaire, à l'origine sans envergure, va pourtant les mener à Franck Jammet, braqueur et pianiste virtuose, auteur présumé du légendaire casse de l'aéroport de Zaventem, dont la bande est orchestrée par son infaillible équipière, la discrète Julie Narmon.
Se mettent alors en place deux portées à quatre mains, en un concerto aux mesures imprévues qui semblent se répondre. Dans un cas comme dans l'autre, des apparences trop bien ficelées, et au centre, cette question que chacun se pose : qui a vraiment réalisé le casse du siècle ?