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Les loups-garous...
Le dilemme (Poche)
Livia rêve depuis toujours d'une soirée inoubliable pour son quarantième anniversaire. Alors Adam, son mari, a tout fait pour que la fête soit grandiose. Leurs amis sont là, tous réunis dans le jardin de leur maison de Windsor. Ne manque plus que leur fille Marnie, qui viendra exprès de Hong Kong mais cela, Livia ne le sait pas ; ce sera une surprise. Parmi les invités, un sujet de conversation jette un furtif voile d'ombre sur la soirée : un avion s'est écrasé au Caire, le matin même.
Mais il suffit d'un verre ou d'une invitation à danser pour que la tristesse s'éclipse. Seul Adam le sait : Marnie aurait dû être à bord de cet avion. Heureusement, se dit-il, qu'elle a manqué sa correspondance et qu'elle n'a donc pas pu monter à bord. Sans doute a-t-elle été transférée sur un autre vol. Dans ces conditions, pas la peine d'inquiéter Livia, n'est-ce pas ?
Le cercle de Finsbury
Alice croyait avoir trouvé la maison de ses rêves... Quand Léo et elle emménagent au Cercle de Finsbury, une résidence haut de gamme en plein Londres, la jeune femme est persuadée de prendre enfin un nouveau départ. Et tant pis si les choses sont allées un peu vite avec Léo et si celui-ci a pris en charge leur emménagement sans véritablement la consulter. La maison est parfaite, la résidence idéale, et les voisins semblent si accueillants ! ...
Mais ce fut celle de ses pires cauchemars. Lorsqu'Alice apprend que Nina, qui vivait dans la maison avant qu'ils n'emménagent, y a été sauvagement assassinée, le vague sentiment d'insécurité qu'elle ressentait jusqu'alors se transforme en peur, puis en terreur. Une présence étrange semble hanter les murs et ni Léo, qui semble lui cacher beaucoup de choses, ni les voisins, qui consacrent le plus clair de leur temps à s'épier les uns les autres, ne la rassurent.
Et puis l'on passe bien trop facilement d'une maison à l'autre, à l'intérieur du Cercle, pour pouvoir y dormir en paix.
La nuit du mal
Novembre 1941. L'Allemagne est sur le point de gagner la guerre. L'armée du Troisième Reich est aux portes de Moscou. Pour Himmler, le chef des SS, la victoire sera définitive s'il parvient à s'emparer d'une swastika sacrée disparue en Europe. Pour Churchill, il faut absolument retrouver cette relique avant les nazis. Chacun compte sur Tristan Marcas, agent double au passé obscur. Au coeur de cette guerre occulte entre les forces du Bien et du Mal, Laure, la résistante française, et Erika, l'archéologue allemande, vont s'affronter dans une lutte sans merci.
De Berlin à Londres, de la Crête mystérieuse à l'Italie de Mussolini, qui l'emportera dans ce duel entre l'ombre et la lumière ? Et si la vérité se trouvait dans la jeunesse aux secrets interdits d'un certain Adolf Hitler ? En bonus : le premier chapitre du troisième volet de la saga.
La relique du Chaos
Juillet 1942. Jamais l'issue du conflit n'a semblé aussi incertaine. Si l'Angleterre a écarté tout risque d'invasion, la Russie de Staline plie sous les coups de boutoir des armées d'Hitler. L'Europe est sur le point de basculer. A travers la quête des Swastikas, la guerre occulte se déchaîne pour tenter de faire pencher la balance. Celui qui s'emparera de l'objet sacré remportera la victoire. Tristan Marcas, agent double au passé obscur, part à la recherche du trésor des Romanov, qui cache, selon le dernier des tsars, l'ultime relique.
A Berlin, Moscou et Londres, la course contre la montre est lancée, entraînant dans une spirale vertigineuse Erika, l'archéologue allemande et Laure, la jeune résistante française...
Le frère de sang
Paris, 1355. Un homme est brûlé vif en place publique. Nicolas Flamel assiste à l'exécution : celui qui deviendra un célèbre alchimiste va plonger dans les terribles révélations d'un livre interdit. Paris, 2007. Le commissaire franc-maçon Antoine Marcas découvre deux crimes rituels commis par l'un des siens, baptisé le " Frère de Sang ". Un indice le met sur la piste du mystère de l'or pur. De Paris à New York, une course contre la montre s'engage entre la statue de la Liberté et la tour Eiffel...
" Tout cela est très enlevé, solidement documenté et la jubilation qu'on sent chez les auteurs est communicative. " François Vey – Le Parisien / Aujourd'hui en France Edition enrichie d'une fin alternative