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Sinestra (Poche)
"Elle se figura un paradis rempli de rires, de réglisses fondantes et de pommes d'amour, jusqu'à ce que l'haleine démoniaque du Val Sinestra effleurât sa nuque délicate tel un tisonnier labourant les cendres de l'innocence perdue". Suisse, 1942. Le Val Sinestra, refuge isolé au coeur de la vallée des Grisons et entouré de montagnes monumentales, accueille un convoi de réfugiés fuyant les atrocités de la guerre.
Des mères brisées au bras de leur progéniture, des orphelins meurtris et atteints de désordres psychiques. Mais, là où ils croyaient avoir trouvé la paix, les résidents comprennent que le Mal a franchi la frontière avec eux. La révélation française qui met les Américains K-O debout ! Gérard Collard
Le carnet des rancunes...
Depuis vingt ans, Sébastien Desmichelles note soigneusement dans un petit carnet rouge chaque offense, chaque affront, chaque blessure qu'on lui inflige. Il l'appelle son "Carnet des rancunes" . Collègues, voisins, amis, famille, personne ne le sait, mais personne n'échappe à sa liste. Un jour, chacun sera puni selon ce qu'il mérite. Aujourd'hui est l'anniversaire des 50 ans de Sébastien. L'heure de la vengeance a sonné.
Pour l'homme qui lui a fait le plus de mal, il a prévu un châtiment exemplaire : la mort. Ce soir, il ouvrira son Carnet des rancunes...
L'empereur blanc (Poche)
Cinq auteurs de romans noirs se retrouvent à Crescent House, une maison isolée, érigée au creux d'une vallée perdue de l'Arkansas pour un week-end de création dans une ambiance propice à l'imagination la plus lugubre. De fait, la rumeur locale prétend qu'en 1985, un écrivain, nomme Bill Ellison, y aurait été assassine par des membres du Ku Klux Klan. D'autres disent qu'il aurait lut-même tué son épouse avant de se donner la mort.
Alors que le week-end passe, les nouveaux habitants de Crescent House disparaissent l'un après l'autre... Une famille entière, bien sous tous rapports, est massacrée dans la ville voisine. Quel est le lien entre passé et présent, entre locataires d'hier et d'aujourd'hui - entre légende et réalité ?
Plus fort qu’elle (poche)
Cette nuit-là, dans la banlieue chic de Bordeaux, Cécile, 44 ans, est réveillée par une voix familière : a Debout, il faut qu'on parle." Quelques instants après, elle est précipitée dans l'escalier de marbre de sa maison et tuée sur le coup. Aux origines du meurtre, la police le comprend très vite, il y a la liaison passionnée entre le mari de Cécile et son assistante, Raphaëlle. Liaison pour laquelle Raphaëlle a tout quitté, y compris ses enfants, métamorphosée par cet amour plus fort qu'elle. Qui a tué Cécile ? Le mari, la maîtresse ? Les deux ensemble ? Peu à peu, une manipulation parfaite se dessine sous nos yeux. Effrayante. Oppressante. Et, peut-être, fatale ?
Dans l'ombre de Clarisse
Une grand-mère, dans l'imagerie populaire, c'est une petite femme toute ronde, au visage doux et souriant, à la voix chaude et rassurante, qui sait consoler petits et grands chagrins, écouter avec sagesse et compassion, et qui, par-dessus tout, nous aime sans condition, pour toujours. Eh bien ! Pour Charlotte et ses soeurs, une grand-mère, c'est Clarisse : mâchoire inférieure avancée, nez plat, front large, yeux écartés et brillants d'un feu insoutenable, des mains comme des battoirs, un corps massif et imposant, et une voix qui s'apparente à un grognement, parfois même à un aboiement.
D'où le surnom dont l'ont affublée ses petites-filles : la Bouledogue. Le jour où Clarisse doit venir s'installer chez elles, à la suite d'un drame qui laisse leurs parents incapables de s'occuper d'elles, l'existence des quatre soeurs prend la tournure d'un cauchemar. L'éducation, selon Clarisse, c'est se soumettre ou souffrir. Pour en arriver à ce que son code de bonne conduite soit respecté à la lettre, elle ne lésine pas sur les méthodes, même les plus cruelles.
Charlotte, la rebelle, regrettera amèrement de ne pas avoir plié l'échine devant cette nouvelle autorité. Sa résistance la conduira tout droit à l'horreur, à l'inimaginable...