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Je suis la maman du...
Jusqu'où peut aller une mère lorsqu'elle découvre que son fils parfait et adoré est un monstre... ? Du haut de ses 90 ans, Mme de Miremont est la femme la plus dure, austère et pieuse qui soit. Figée dans ses certitudes et sa foi, la vieille dame ne vit que pour Dieu et pour son fils, le père Pierre-Marie. Quand les crimes du prêtre sont révélés au grand jour, Gabrielle vacille, l'armure se fend. Il lui faudra peu à peu baisser la garde pour dénouer les fils du drame.
La mère du bourreau voit devant elle se refermer les portes du Ciel et s'ouvrir le plus rocailleux des chemins de croix...
La vengeance de la...
Les vacances d'été sont là et Damien est tout excité : ses amis du Clan du hip-hop arrivent bientôt pour passer quelques jours à ses côtés, à Valenciennes. En plus, son voisin Victor a fait une incroyable découverte dans la cave de leur immeuble : un squelette ! Plus incroyable encore, ce squelette porte un habit de pirate et détient une énigme à déchiffrer. Pas de doute : ça c'est une enquête pour les copains du Clan du hip-hop et leurs malicieux compagnons à quatre pattes !
Prix Galibot Noir Charbon 2021
Délation sur ordonnance
Dans les années 2010, Oreste Bramard est amené à expertiser la bibliothèque de feu Grégoire Saint-Marly, médecin à Pau, à la demande de la petite-fille et héritière du notable. Un jour, une étrange ordonnance s'échappe sous ses yeux d'une édition originale de Céline. C'est une lettre de délation datée du 19 décembre 1942, dénonçant auprès de la préfecture quatre "mauvais Français" et signée : "Dr Saint-Marly, ancien combattant de 14-18, père de quatre enfants" .
Oreste comprend alors qu'en suivant la "chasse au trésor" conçue par le médecin bibliophile, il trouvera les documents cachés qui lui permettront de reconstituer ce qui s'est réellement passé à Pau durant les dernières années de la Seconde Guerre mondiale. Ironie de l'histoire, les enfants Saint-Marly eux-mêmes ont été pris dans la tourmente engendrée par la lettre de dénonciation de leur père. Communistes, francs-maçons, Juifs, résistants, collaborateurs ou foule des anonymes...
Bernard Prou n'omet aucune des factions en présence. Il brosse une fresque animée et jubilatoire de cette période trouble, où chacun a dû agir selon son coeur et selon sa conscience.