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Le carnet des rancunes...
Depuis vingt ans, Sébastien Desmichelles note soigneusement dans un petit carnet rouge chaque offense, chaque affront, chaque blessure qu'on lui inflige. Il l'appelle son "Carnet des rancunes" . Collègues, voisins, amis, famille, personne ne le sait, mais personne n'échappe à sa liste. Un jour, chacun sera puni selon ce qu'il mérite. Aujourd'hui est l'anniversaire des 50 ans de Sébastien. L'heure de la vengeance a sonné.
Pour l'homme qui lui a fait le plus de mal, il a prévu un châtiment exemplaire : la mort. Ce soir, il ouvrira son Carnet des rancunes...
Les blessures des anges
Jusqu'où peut aller la quête de vengeance d'une femme blessée ? De jeunes hommes sont retrouvés morts et défigurés, immergés dans des cours d'eau du Nord de la France et de la Belgique. Le mode opératoire récurrent permet de déduire qu'on est en présence d'un tueur en série. La Française Véronique De Smet et la Belge Bettina Rosco, deux femmes flics au fonctionnement diamétralement opposé, sont chargées par leurs autorités respectives de travailler de concert pour résoudre au plus vite cette sordide affaire.
Elles vont recourir à des méthodes peu conventionnelles qui les amèneront alors à mettre à jour de terribles secrets sur l'enquête, mais aussi sur elles-mêmes...
Ouvrage en précommande.
Juillet noir
Lorsque les secrets enfouis remontent à la surface et que la soif de vengeance devient une obsession, tout bascule... 1961. Une femme abandonne Patrick, un bébé estropié, devant les portes d'un orphelinat. Il n'aura jamais la chance d'être adopté et subira des maltraitances durant toute son enfance à cause de sa différence. 1979. Estelle, gynécologue dans une clinique du Nord de la France, est violée par un inconnu dans les toilettes d'une aire de repos, un soir de juillet.
Sous le choc, elle décide de ne rien dire à ses proches et de taire sa souffrance, malgré le piège qui se referme déjà autour d'elle. Deux destinées aux antipodes, autant de coupables que de victimes. Et si au milieu du chaos, la mort devenait la seule échappatoire ?
Plus fort qu’elle (poche)
Cette nuit-là, dans la banlieue chic de Bordeaux, Cécile, 44 ans, est réveillée par une voix familière : a Debout, il faut qu'on parle." Quelques instants après, elle est précipitée dans l'escalier de marbre de sa maison et tuée sur le coup. Aux origines du meurtre, la police le comprend très vite, il y a la liaison passionnée entre le mari de Cécile et son assistante, Raphaëlle. Liaison pour laquelle Raphaëlle a tout quitté, y compris ses enfants, métamorphosée par cet amour plus fort qu'elle. Qui a tué Cécile ? Le mari, la maîtresse ? Les deux ensemble ? Peu à peu, une manipulation parfaite se dessine sous nos yeux. Effrayante. Oppressante. Et, peut-être, fatale ?
La pierre du remords
Valborg est assassinée chez elle. Elle venait de prendre sa retraite. Sur son bureau, il y a le numéro de téléphone de Konrad, un ex-policier. Elle avait contacté récemment l'enquêteur pour lui demander de retrouver l'enfant qu'elle avait mis au monde cinquante ans plus tôt, et qu'elle avait abandonné juste après sa naissance. Désolé de lui avoir refusé son aide, Konrad s'emploie à réparer son erreur.
Il découvre l'existence d'un mouvement religieux contre l'avortement et reconstruit l'histoire d'une jeune fille violée dans le bar où elle travaillait. Il rencontre aussi un clochard, des trafiquants de drogue et recueille même par hasard des fragments de l'histoire de la mort violente de son propre père... Konrad se révèle un enquêteur intelligent et sensible à la souffrance des autres, d'une humanité touchante.
Et l'auteur montre toute son empathie et son talent dans sa description de la cruauté du destin de la jeune Valborg. Avec une construction particulièrement habile et haletante, Indridason nous immerge magistralement dans un récit captivant et impitoyable sur la honte, le désespoir et l'intensité des remords qui reviennent nous hanter.
Plus fort qu'elle
Cette nuit-là, dans la banlieue chic de Bordeaux, Cécile, 44 ans, est réveillée par une voix familière : a Debout, il faut qu'on parle." Quelques instants après, elle est précipitée dans l'escalier de marbre de sa maison et tuée sur le coup. Aux origines du meurtre, la police le comprend très vite, il y a la liaison passionnée entre le mari de Cécile et son assistante, Raphaëlle. Liaison pour laquelle Raphaëlle a tout quitté, y compris ses enfants, métamorphosée par cet amour plus fort qu'elle. Qui a tué Cécile ? Le mari, la maîtresse ? Les deux ensemble ? Peu à peu, une manipulation parfaite se dessine sous nos yeux. Effrayante. Oppressante. Et, peut-être, fatale ?