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J'aime votre peur
Quatorze histoires brûlantes, glaçantes ou bouleversantes. Ici, des personnages inoubliables avancent au coeur des épreuves que leur impose la vie, la société, le monde. Femmes, hommes, enfants : tous cherchent à échapper à ce qui les enferme. L'amour qui empoisonne. La famille qui devient prison. Les violences qui n'épargnent personne, surtout pas les innocents. Ici, l'être humain se dévoile dans toute sa vérité.
Ténèbres et lumière entremêlées. Faiblesses, forces, éclats d'espoir. Les plus belles nouvelles de Karine Giebel. De l'émotion pure, jaillie du coeur même du chaos.
Frissons - L'île sans nom
Personne n'est jamais revenu de l'île sans nom... Il existe une île au large dont tout le monde parle, mais personne ne sait ce qu'il s'y passe. Il paraît qu'elle est peuplée de monstres. De chats sanguinaires. Que quiconque y pose les pieds ne revient jamais - ou du moins, pas indemne... Un soir, Nora et Swan se lancent le défi d'y aller en nageant. Ce qui était …
Personne n'est jamais revenu de l'île sans nom... Il existe une île au large dont tout le monde parle, mais personne ne sait ce qu'il s'y passe. Il paraît qu'elle est peuplée de monstres. De chats sanguinaires. Que quiconque y pose les pieds ne revient jamais - ou du moins, pas indemne... Un soir, Nora et Swan se lancent le défi d'y aller en nageant. Ce qui était d'abord un challenge sportif pour eux va se transformer en cauchemar : la mer en pleine nuit est menaçante, mais ce n'est rien comparé à ce qui les attend sur l'île...
Et chaque fois, mourir...
Plus qu'un coup de coeur, un sacré coup de poing étonnant de réalisme. Du grand Giebel! (Marc-Olivier Rinchart, La Librairie Noire)
Monter au front sans arme ni gilet pare-balles. Soigner les autres au péril de sa vie. Se sentir utile en ce monde.
De Sarajevo à Gaza, en passant par Grozny, la Colombie ou l’Afghanistan, Grégory se rend au chevet des sacrifiés sous l’égide de la Croix-Rouge internationale. Chaque victime sauvée est une victoire sur la folie des hommes. Chaque vie épargnée donne un sens à la sienne. Peu importe les cicatrices et les plaies invisibles que lui laisse chaque conflit.
Poussé par l’adrénaline, par un courage hors du commun et par l’envie de sauver ceux que le monde oublie, Grégory prend de plus en plus de risques.
Jusqu’au risque de trop. Jusqu’au drame…
Et chaque fois, mourir...
Plus qu'un coup de coeur, un sacré coup de poing étonnant de réalisme. Du grand Giebel! (Marc-Olivier Rinchart, La Librairie Noire)
Les deux tomes du roman Et chaque fois, mourir un peu réunis en un seul volume - édition limitée.
Soigner, survivre, tenir.
Et chaque fois… mourir un peu.
Grégory est infirmier humanitaire. Pendant près de vingt ans, il a vu ce que l’humanité a de plus noir en se rendant sur les zones de guerre : Sarajevo, Gaza, la Tchétchénie, le Congo, l’Afghanistan…
Son combat, il le mène sans armes, en première ligne, au nom de la vie. Il soigne les corps en essayant de préserver ce qui reste des êtres. Un regard reconnaissant, un sourire arraché à l’horreur, suffisent à le maintenir debout.
Jusqu’au jour où Grégory devient à son tour victime de la guerre et de ses cicatrices invisibles. Le retour à la vie sera une autre bataille. Plus sourde, plus intime.
Plus violente encore.
Dans ce chaos, un lien résiste à tout : l’amitié indéfectible de Paul, son frère d’armes et d’âme, dernier rempart contre la chute… jusqu’à quand ?
Dans ce diptyque vertigineux, aussi noir que lumineux, Karine Giebel explore les limites de l’endurance humaine et la frontière fragile entre sacrifice et effondrement. Elle écrit le silence des survivants et la folie tapie sous la peau. À la croisée du thriller psychologique et du roman humanitaire, elle signe une fresque coup de poing et inoubliable sur la guerre, la mémoire, la fraternité, la survie.
Une oeuvre majeure. Un choc littéraire.
« Je suis mort là-bas. Le type qui est revenu... c'est juste un survivant. »
Acide - Karine Giebel
Le nouveau thriller de Karine Giebel, qui donne une voix à celles qui n'en ont pas. Un roman coup de poing qui explore un des pires outrages fait aux femmes.
L'Échange
Un bled paumé. Une bande de potes. Une idée : échanger ses maisons, le temps d'un été. Mais nos voisins ont souvent beaucoup à cacher... " Je suis à genoux dans les feuilles et je le supplie de ne pas tirer, mais il ne m'entend pas, il ne voit pas non plus que je pleure. On n'a rien maitrisé, rien anticipé, comment on pouvait se douter ? Tout a dérapé en si peu de …
Un bled paumé. Une bande de potes. Une idée : échanger ses maisons, le temps d'un été. Mais nos voisins ont souvent beaucoup à cacher... " Je suis à genoux dans les feuilles et je le supplie de ne pas tirer, mais il ne m'entend pas, il ne voit pas non plus que je pleure. On n'a rien maitrisé, rien anticipé, comment on pouvait se douter ? Tout a dérapé en si peu de temps. Et maintenant, c'est trop tard.
" Avoir dix-huit ans dans un bled paumé, c'est l'enfer. C'est comme ça qu'on a eu cette idée : pendant l'été, tout le monde s'échange les maisons. Mais tout n'est pas rose derrière les portes des voisins. Chacun a ses secrets, et certains sont plus dangereux que d'autres...
V
Dérapages - Les Louves...
Un recueil de 19 nouvelles des Louves du Polar, collectif d'autrices engagé pour la visibilité des voix féminines du polar.
Ces récits explorent la thématique du dérapage: des trajectoires de femmes qui dévient, par choix ou par contrainte; des destins confrontés à la violence, à la domination, à l'emprise; des femmes qui prennent leur vie en main avec courage, résilience et parfois violence.
De là-haut
Si ma mère avait pu être quelqu'un d'autre, elle aurait choisi d'être Thomas Pesquet. Il n'y a que l'espace qui compte pour elle. Les fusées, les étoiles, la vie en apesanteur. Moi, dans tout ça, je n'ai jamais vraiment eu ma place. Au fond, je crois que j'ai toujours su qu'un jour, elle s'éclipserait sans crier gare. Je pensais seulement qu'avant, on aurait le temps d'apprendre à se connaître.
Ce que je n'ai pas su...
Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement.
C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul.
D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.
Les aveuglés - Le...
Nos reflets sont d'une cruauté sans nom avec nous. Mais ces malveillantes petites voix qui nous parviennent ne sont pas forcément les nôtres car, tapie dans l'ombre, une créature magique et démoniaque du nom de Narcyss est à l'oeuvre. Son objectif : aveugler ceux qui se contemplent trop dans la glace, les faire sombrer dans le désespoir et la haine d'eux-mêmes pour, enfin, les attirer de l'autre côté du miroir dans son terrifiant et fantastique palais des murmures, où ils seront réduits en esclavage.
C'est ainsi que Théo, la soeur de Natan, a disparu. Afin de la sauver, le jeune garçon devra pénétrer dans le sinistre domaine de Narcyss pour y affronter ses peurs les plus terribles et, en chemin, faire face au plus grand défi de tous : s'accepter tel qu'il est.
Les aveuglés - La...
De l’autre côté du miroir, le diabolique Narcyss règne sur la terre des Reflets depuis son glaçant palais des Murmures. Là-bas, il retient prisonniers tous ceux qui se sont laissés happer par leur propre reflet dans le miroir et les réduit en esclavage.
Pourtant, Natan a réussi à libérer sa soeur Théo, que tout le monde croyait morte. Et si leur mère, Irène, était encore en vie ? L’espoir de la retrouver dépassant l’angoisse de revoir leur ennemi, Natan et Théo décident de repartir au royaume de Narcyss. Mais ce dernier est plus puissant que jamais. Il ne compte pas les laisser s’échapper une nouvelle fois…
Les morsures de...
Séquestré dans une cave, le commandant Benoît Lorand est à la merci de Lydia, belle femme au comportement hiératique et tortionnaire. Il lui faudra fouiller dans son passé pour comprendre les motivations de sa geôlière... Une femme rousse, plutôt charmante. Oui, il se souvient. Un peu... Il l'a suivie chez elle... Ils ont partagé un verre, il l'a prise dans ses bras... Ensuite, c'est le trou noir.
Quand le commandant Benoît Lorand se réveille dans cette cave, derrière ces barreaux, il comprend que sa vie vient de basculer dans l'horreur. Lydia le retient prisonnier. L'observe, le provoque, lui fait mal. Rituel barbare, vengeance, dessein meurtrier, pure folie ? Une seule certitude : un compte à rebours terrifiant s'est déclenché. Combien de temps résistera-t-il à ces morsures de l'ombre, infligées par cette femme assoiffée de vengeance ? Un récit noir magistral et tendu à l'extrême, où les auteurs nous entraînent dans un huis clos glaçant au coeur de la folie d'après le bestseller multiprimé de Karine Giébel.
Et chaque fois, mourir...
Plus qu'un coup de coeur, un sacré coup de poing étonnant de réalisme. Du grand Giebel! (Marc-Olivier Rinchart, La Librairie Noire)
Avec Trauma(s), Karine Giebel met un point final à son roman Et chaque fois, mourir un peu.
Après des années sur le front sans arme ni gilet pare-balle, après des années à soigner les autres au péril de sa vie sous l'égide de la croix rouge internationale, après avoir pris de plus en plus de risques jusqu'au risque de trop, une autre guerre attend Grégory.
Lors d'une dernière mission en Afghanistan les rôles s'inversent : les humanitaires deviennent des cibles.
Après tous les combats qu'il a menés, Grégory va devoir sauver sa propre vie et celle de ses collègues.
Mauvais joueur
Selma s'est mise en tête d'explorer un collège abandonné. Elle connait la règle sacrée de l'urbex, ne jamais rien emporter. Pourtant, dans une salle de classe délabrée, elle est attirée par une petite bille de flipper qui semblait l'attendre. Ni vu ni connu, Selma glisse la bille dans sa poche... Une erreur qu'elle va amèrement regretter. Niveau de peur de cette histoire : 2/3