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La mort est parfois...
Yan est flic à la police judiciaire de Lille. Depuis quelque temps, un " passager clandestin " s'est invité dans sa vie : " l'Araignée ", c'est le surnom qu'elle lui a donné. Alors que Yan traque l'auteur du meurtre d'un journaliste connu pour ses reportages à sensation, elle n'a pas d'autre choix que de composer avec son " invisible ennemie " : insidieuse, omniprésente, l'Araignée tisse sa toile, cuisante morsure dans ses chairs survenant n'importe où, n'importe quand...
En parallèle, Brath, son collègue, enquête sur la mort étrange d'un homme retrouvé décapité, assis au volant de sa voiture, la tête reposant sur la banquette arrière. En équilibre sur un fil, Yan ne baisse pas les bras, avance sur son chemin de douleurs au risque de se perdre... définitivement.
Le dilemme (Poche)
Livia rêve depuis toujours d'une soirée inoubliable pour son quarantième anniversaire. Alors Adam, son mari, a tout fait pour que la fête soit grandiose. Leurs amis sont là, tous réunis dans le jardin de leur maison de Windsor. Ne manque plus que leur fille Marnie, qui viendra exprès de Hong Kong mais cela, Livia ne le sait pas ; ce sera une surprise. Parmi les invités, un sujet de conversation jette un furtif voile d'ombre sur la soirée : un avion s'est écrasé au Caire, le matin même.
Mais il suffit d'un verre ou d'une invitation à danser pour que la tristesse s'éclipse. Seul Adam le sait : Marnie aurait dû être à bord de cet avion. Heureusement, se dit-il, qu'elle a manqué sa correspondance et qu'elle n'a donc pas pu monter à bord. Sans doute a-t-elle été transférée sur un autre vol. Dans ces conditions, pas la peine d'inquiéter Livia, n'est-ce pas ?
Le cercle de Finsbury
Alice croyait avoir trouvé la maison de ses rêves... Quand Léo et elle emménagent au Cercle de Finsbury, une résidence haut de gamme en plein Londres, la jeune femme est persuadée de prendre enfin un nouveau départ. Et tant pis si les choses sont allées un peu vite avec Léo et si celui-ci a pris en charge leur emménagement sans véritablement la consulter. La maison est parfaite, la résidence idéale, et les voisins semblent si accueillants ! ...
Mais ce fut celle de ses pires cauchemars. Lorsqu'Alice apprend que Nina, qui vivait dans la maison avant qu'ils n'emménagent, y a été sauvagement assassinée, le vague sentiment d'insécurité qu'elle ressentait jusqu'alors se transforme en peur, puis en terreur. Une présence étrange semble hanter les murs et ni Léo, qui semble lui cacher beaucoup de choses, ni les voisins, qui consacrent le plus clair de leur temps à s'épier les uns les autres, ne la rassurent.
Et puis l'on passe bien trop facilement d'une maison à l'autre, à l'intérieur du Cercle, pour pouvoir y dormir en paix.
L'ombre de Nola
"Jamais je n'aurais soupçonné une telle tempête à l'intérieur de moi. Mon autre nature était enfermée comme dans une prison de haute sécurité avec ses écrous et ses barreaux. Ne laissant apparaître que naïveté et apparente légèreté. Mais le monstre a libéré un autre monstre. Et ce que toi tu m'as fait, je vais te le rendre. Je vais te le renvoyer tel un miroir et il ne manquera rien, tu peux me croire.
Douleur, colère, terreur, vengeance, tout y sera. Et ce miroir reflétera toutes tes imperfections. Tel le portrait de Dorian Gray, ces imperfections deviendront pustules, pourriture de ce que tu es à l'intérieur de toi..." Depuis son retour en France, Talia a changé. Le don qu'elle a acquis à la Nouvelle-Orléans n'y est peut-être pas étranger. En ce début janvier, une nouvelle vision la perturbe. Un homme pendu.
Talia sait que cela annonce un meurtre. Cependant personne ne la prend au sérieux. Etant donné ce qu'elle apprend, Charlie, sa meilleure amie depuis toujours, craint qu'elle ne souffre d'un important stress post-traumatique. Alors que les meurtres par pendaison se poursuivent, Talia décide de repartir à la Nouvelle-Orléans. Elle doit retourner sur les traces des esprits vaudou. Sur les traces de Baron Samedi.
La porte s'ouvre à nouveau entre deux mondes. Tout n'a pas encore été révélé. Entrez, si vous l'osez...