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Reikiller
Et si le remède était pire que le mal ? Jenny, prodigieuse acrobate, intègre la troupe d'un célèbre cabaret périgourdin, le Satyre Rieur. Elle vient de s'installer dans la région pour être aux côtés de Didier, gendarme à la Brigade de recherche de Sarlat. Ce dernier enquête sur la disparition de plusieurs touristes allemandes. Un prédateur assoiffé de sang roderait dans les bois... Avec leur fille âgée de cinq ans, le couple aurait tout pour être heureux si la petite Luna n'avait pas développé une grave tumeur cérébrale contre laquelle la médecine conventionnelle ne peut rien.
Les jours de l'enfant sont comptés. Tandis que Didier noie son chagrin dans l'enquête, Jenny cherche un espoir. Virginie, la charismatique patronne du Satyre Rieur, pratique le reiki, une technique de guérison ancestrale basée sur les flux d'énergie. Elle prétend pouvoir sauver Luna... Et si le remède était pire que le mal ? Jenny et Didier découvriront qu'il n'y a pas de miracle sans contrepartie...
Plongée fascinante dans l'univers envoûtant du cabaret, Reikiller nous entraîne dans une incroyable course contre la montre et, par la force de son intrigue, explore les recoins les plus sombres de la spiritualité contemporaine.
Lectio letalis (Poche)
PARIS. Un assistant d'édition tout juste embauché se tranche les veines à la lecture du premier manuscrit qui lui est confié. C'est la troisième fois, en quelques semaines, que le même scénario-suicide se produit dans cette maison d'édition. BORDEAUX. Le lieutenant Gabriel Barrias, ancien indic devenu flic, enquête sur l'assassinat atypique d'un psychiatre massacré par un rapace, dans son cabinet, en pleine consultation.
Deux affaires éloignées en tout point, et pourtant un nom apparaît dans les deux dossiers d'enquête. Celui d'Anna Jeanson, l'unique survivante d'un suicide collectif survenu dix ans plus tôt dans une secte dressant des animaux à tuer.
Lectio letalis
Oserez-vous tourner les premières pages du LECTIO LETALIS ? PARIS. Un assistant d'édition tout juste embauché se tranche les veines à la lecture du premier manuscrit qui lui est confié. C'est la troisième fois, en quelques semaines, que le même scénario-suicide se produit dans cette maison d'édition. BORDEAUX. Le lieutenant Gabriel Barrias, ancien indic devenu flic, enquête sur l'assassinat atypique d'un psychiatre massacré par un rapace, dans son cabinet, en pleine consultation.
Deux affaires éloignées en tout point, et pourtant. Un nom apparaît des deux cotés. Celui d'Anna Jeanson, qui fut, dix ans plus tôt, l'unique survivante d'un suicide collectif survenu dans une secte dressant des animaux à tuer. Un livre et des oiseaux qui tuent, personne ne pourrait y croire. Mais sous la plume de Laurent Philipparie, capitaine de police, tout est si vrai que c'en est effrayant.
Ne regarde pas l'ombre...
Nouvelle édition complètement revue par l’auteur
Lors de la prise d'otage d'un commissariat parisien, les autorités découvrent l’existence de « Germain », un flic de rue qui n'apparaît nulle part sur les organigrammes et dont l'apparition bouleversera le cours des événements. Peu à peu, on découvre que ce policier, protégé par ses proches collègues, enquête sur des sacrifices humains commis sur des SDF par de mystérieux confrères versant dans la sorcellerie.
Le commissaire Nicolas Valmer, « patron » de permanence confronté à cette situation inédite, va être amené à explorer des coulisses policières aussi terribles qu'insoupçonnables…
Un sulfureux scandale méconnu de tous et protégé par certains puissants...
Et nous, au bord du monde
Chassée de la demeure familiale, Nadine erre, incapable de trouver sa place. Jusqu'au jour où elle découvre Les Vignes. Une ancienne bâtisse à flanc de colline, défendue par une armée de chèvres et de merisiers. Un squat aux allures de paradis, le repaire de deux ours, Louis et Jean-Mi, aussi marginaux qu'elle. Sans demander et presque sans y penser, Nadine investit les lieux. Devient la troisième ourse.
Là, à l'ombre des Vignes, elle trouve une existence simple, rustique. Et plus qu'un point de chute, un endroit où oublier et tenter de vivre. Mais quand le monde pénètre par effraction dans ce paradis perdu, les souvenirs reviennent, l'enfer commence. Par la justesse de ses mots, Nathalie Sauvagnac réussit la prouesse de raconter la violence des hommes sans pour autant oublier la lumière des invisibles et des fracturés, ceux qui cherchent leur place, fût-elle au bord du monde.
O Pulchérie !
Déserté peu à peu par ses habitants, le village de Saint-Eloi dépérit. Un beau jour arrivent Sylviane et Norbert, les amoureux marginaux, qui prennent possession de la maison de la Morte. Leur arrivée va réveiller la petite communauté vieillissante. Norbert fait une cuisine divine et Sylviane fait des enfants. Pour qu'ils ne s'enfuient pas, le village tout entier prend en charge la famille, la protège du monde extérieur.
Pulchérie rebelle et sensuelle, Martian malade des autres, Nicomède indomptable et fragile, Albiane éternelle enfant qui parle avec les morts, sont les enfants sauvages et asociaux de la famille Lecoeur. La vie s'écoule, à l'abri de la maison. Jusqu'au jour où Pulchérie se met en tête de gagner le concours de majorettes local. Tout Saint-Eloi se mobilise pour que la jeune fille réalise son rêve. Et c'est alors que les murs de la maison commencent à s'effriter...
Les yeux fumés (Poche)
Au centre, il y a Philippe. Philippe qui vit dans une cité et passe ses journées à traîner, fumer et piquer des bières au centre commercial. Philippe, entouré d'une mère qui le déteste ouvertement, d'un père effacé qui a renoncé depuis longtemps et d'un frère aussi beau que bête. A côté, il y a Bruno, son pote baroudeur et destroy. Bruno qui raconte qu'il a fait le tour du monde et a connu les plus belles femmes, qu'il n'est là que de passage.
Autour, il y a les canards du parc qui s'étouffent avec des bouts de plastique, les gamins qui crient trop fort aux pieds des barres d'immeubles, les grues et les murs qui tiennent avec les dealers. Les petites violences du quotidien n'atteignent pas Philippe, tant qu'il y a de la bière et les histoires de Bruno pour inventer un autre horizon que celui des tours de béton. Jusqu'à ce qu'un drame vienne pulvériser son équilibre et déclenche la bombe à retardement...
Du noir bien serré, bouleversant d'humanité, qui ne ressemble pas à ce qu'on lit d'habitude. Christine Ferniot et Michel Abescat, Télérama. Un polar urbain qui distille une tension crescendo, plongeant le lecteur dans une atmosphère singulièrement oppressante. Delphine Peras, L'Express. Un beau roman noir. Claire Devarrieux, Libération.
Le silence selon Manon
"Le silence selon Manon" peut être lu comme un "prequel" de "La Transparence selon Irina." Dans les années 2025, le monde occidental se caractérise par une montée de l'agressivité sur les réseaux sociaux et en particulier des cas de cyber harcèlement, au point qu'une unité spéciale de la police, dirigée par le commissaire Sébastien Mille, a dû être mise en place. Sébastien Mille s'intéresse de près aux manoeuvres des groupes masculinistes en France.
L'Amérique du Nord avait déjà connu dans les années 2010 des attentats dont les auteurs se réclamaient du mouvement "incel" (pour "involuntary celibate) "autrement dit des célibataires forcés qui conçoivent une haine des femmes et de la société contemporaine qu'ils jugent trop favorable au féminisme. A Paris, le groupe de musique hardcore Significant Youth, qui défend des valeurs humanistes et féministes dans ses chansons, est agressé lors d'un concert par une poignée de masculinistes qui fréquentent un forum dédié ; Yvan, le leader est pris à partie et son frère Simon ainsi que sa compagne sont blessés dans la bagarre qui s'ensuit.
Cet épisode n'est que le prélude à un attentat beaucoup plus violent qui va bouleverser la vie des deux frères et de leur entourage. Il faudra à Sébastien Mille une obstination hors du commun pour s'approcher des coupables, d'autant plus insaisissables qu'ils se cachent sous maintes identités, dissimulés par la grande Toile protectrice d'Internet... A travers ce polar aux personnages ambigus et pervers qu'on croirait sortis de l'univers de Patricia Highsmith, Benjamin Fogel poursuit son exploration de notre cyber monde.
Le crime n'a plus lieu dans les ruelles sordides des villes ou dans les caves des banlieues, il rode sur la Toile de manière d'autant plus insidieuse que ses auteurs savent être furtifs.
La transparence selon...
2058 : le monde est entré dans l'ère de la transparence. Les données personnelles de chacun sont accessibles en ligne publiquement. Il est impossible d'utiliser Internet sans s'authentifier avec sa véritable identité. Pour préserver leur intimité, un certain nombre de gens choisissent d'évoluer sous pseudonyme dans la vie réelle. Sur le réseau, Camille, 30 ans, vit sous l'emprise intellectuelle d'Irina Loubowsky, une essayiste controversée qui s'intéresse à l'impact de la transparence sur les comportements humains.
Dans la réalité, Camille se fait appeler Dyna Rogne et cultive l'ambiguïté en fréquentant un personnage trouble appelé U.Stakov, aussi bien que Chris Karmer, un policier qui traque les opposants à Internet. Mais Karmer est assassiné. Entre cette mort brutale et le mystère qui entoure Irina, Camille remet en question sa réalité mais reste loin de soupçonner la vérité.