
La Reine des Neiges....
1810. Alors qu'ils vivent leurs premiers émois amoureux, deux adolescents sont séparés à jamais. Kay est condamné à mort. Gerda, elle, est exilée pour sorcellerie dans les terres maudites du grand nord. Dans le sinistre village du Sans-Retour, elle rencontre Viggo, chef des Enfants Perdus, obsédé par une idée : tuer la terrible Reine des Neiges. Pour s'échapper, Gerda n'a d'autre choix que de le suivre.Qui est cette reine démoniaque qui sème la terreur dans le grand nord ? Pourquoi seuls les hommes disparaissent-ils depuis le jour maudit où elle est apparue ? Et qui est ce mage noir, tapis dans l'ombre, qui semble attendre Gerda ?
Ondine, la Petite Sirène
Et si, ce soir, à la lueur d'une bougie vous étiez transportés dans un conte ancien, aux origines d'une histoire intemporelle... Peut-être y trouverez-vous un peu d'espoir et une étreinte d'amour, mais prudence ! Ne vous perdez pas à travers les méandres des grimoires oubliés. Je suis le conteur d'histoires, et voici la version envoûtante de l’une de celles que je réserve toujours aux esprits les plus téméraires :
Il y a bien longtemps, le destin d’Ondine, sirène aux pouvoirs étranges, bascule le jour où sa mère, la grande sorcière des mers, lui ordonne de participer à une chasse aux hommes, avec ses sœurs. Incapable de noyer l’humain qui s’offre à elle, elle décide de le sauver, désobéissant ainsi à l’autorité incontestée de sa mère. Elle ignore alors qu’elle vient de provoquer une colère dont elle est loin de mesurer les limites.
Pourquoi Ondine est-elle depuis toujours fascinée par le monde des humains ? Comment peut-il lui sembler aussi… familier ?
La réponse se trouve-t-elle parmi les terribles secrets que semble lui cacher sa mère ?
Et qui est ce mystérieux magicien qui se tapit dans l’ombre et l’observe à la dérobée ?
Est-il lui aussi lié au terrible destin qui attend la petite sirène, alors même qu’elle pense avoir trouvé l’amour ?
Et si, au-delà de l’amour qui pousse Ondine à quitter le monde de l’eau, se tramait une machination diabolique ?
Dans cette nouvelle version de La Petite Sirène, apprenez à cultiver votre différence, tôt ou tard, elle se révèlera être votre force.
La mort en face: Dr....
« Ce qui a motivé mon choix de la médecine légale ?
Le hasard. J’avais 18 ans, l’âge où tout est possible, et la prêtrise me tentait beaucoup, j’adorais étudier les évangiles, rencontrer les gens, aider ceux qui en avaient besoin, et je me sentais prêt à m’y engager.
Mais j’ai choisi de faire des études de médecine et au terme de ma première année, j’ai croisé l’évêque de Liège, que je connaissais, et lui ai confié que j’avais abandonné l’idée de la prêtrise. Il n’était guère surpris, car, selon lui, ce n’était pas la foi qui m’animait, mais une grande soif intellectuelle. »
Médecin légiste et professeur en criminologie depuis plus de trente ans, Philippe Boxho est l’auteur de livres qui ont permis à un très large public de découvrir le monde fascinant de la médecine légale dans sa réalité la plus crue, bien loin de l’image véhiculée par la fiction.
Il nous revient avec un troisième ouvrage dans lequel il n’hésite plus à se livrer tout en nous contant des histoires vécues, des histoires émouvantes, étonnantes,interpellantes. Son regard acéré sur notre société nous ouvre les yeux sur certains de ses travers et nous invite à la réflexion. Par le biais de ces histoires sur la mort, c’est la vie qui nous apparaît dans toute sa beauté, mais aussi l’humain dans ce qu’il a de plus inquiétant. Du mystère entourant la mort de Napoléon à la fermière noyée par son mari dans une cuve à lait en passant par les dangers du haschich et de l’alcool, il nous immerge plus profondément que jamais dans les coulisses des enquêtes sur les morts accidentelles, les suicides et les meurtres, des plus célèbres aux plus confidentielles.
Entretien avec un...
« Ce que j’affectionne par-dessus tout, c’est d’aller à la découverte des traces et des indices, de tous ces éléments qui permettent de donner une dernière fois la parole aux morts et de les écouter dans ce qu’ils ont à dire. » C’est par ces mots que le docteur Philippe Boxho, médecin légiste depuis plus de trente ans, introduit son nouvel ouvrage, dans lequel, une fois encore, assassinats et meurtres se succèdent sans relâche.
Au premier plan pour les observer, le célèbre médecin légiste a choisi de nous raconter quelques-unes des histoires qui ont marqué sa carrière : ce suicide à l’arme à feu qui cachait bien son jeu, cet enfant que les parents avaient négligé et qui en est mort, ces gens victimes d’une explosion et de l’effondrement de leur immeuble, cette femme étouffée par son mari, ces hommes trépassés à l’étranger d’avoir cru qu’ils étaient aimés, et bien d’autres encore.
Philippe Boxho nous a régalé avec un premier livre à succès intitulé Les morts ont la parole, un livre rempli de morts qui ne l’étaient pas toujours ou pas encore, de disparitions de cadavres, de suicides étonnants, de morts brutales mais souvent accidentelles. Dans ce deuxième opus, consacré cette fois aux décès suspects, il poursuit sa quête de la vérité judiciaire et nous permet d’explorer le monde fascinant de la médecine légale.
Les morts ont la...
Médecin légiste depuis plus de trente ans, le docteur Philippe Boxho nous fait découvrir dans cet ouvrage son quotidien fait de morts qui ne le sont pas toujours ou pas encore, de disparitions de cadavres, de dissimulations de meurtres, de suicides étonnants. De la scène de crime à la salle d'autopsie, entre pratique médicale et enquête policière, l'expert médico-légal nous raconte son métier, qui est aussi sa passion.
Il nous relate ainsi l'évolution du corps après la mort à travers des histoires de mouches, puis il s'arrête sur cet homme qui pensait mourir d'un seul coup de feu et qui a dû s'y prendre à quatorze reprises, sur cet autre qui, en voulant se pendre, est finalement décédé d'une fracture du crâne, sur ce meurtrier qui n'aurait jamais dû consommer d'alcool ou encore sur cette morte qui avait le mauvais goût de transpirer.
Les histoires rassemblées ici sont toutes vraies, rien n'est inventé. Il n'y a d'ailleurs pas besoin d'inventer, la réalité se suffit à elle-même tant l'imagination humaine est libérée quand il s'agit de mourir, de tuer, de se suicider, de faire disparaître un corps. Ames sensibles s'abstenir...