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Le carnet des rancunes...
Depuis vingt ans, Sébastien Desmichelles note soigneusement dans un petit carnet rouge chaque offense, chaque affront, chaque blessure qu'on lui inflige. Il l'appelle son "Carnet des rancunes" . Collègues, voisins, amis, famille, personne ne le sait, mais personne n'échappe à sa liste. Un jour, chacun sera puni selon ce qu'il mérite. Aujourd'hui est l'anniversaire des 50 ans de Sébastien. L'heure de la vengeance a sonné.
Pour l'homme qui lui a fait le plus de mal, il a prévu un châtiment exemplaire : la mort. Ce soir, il ouvrira son Carnet des rancunes...
Plus fort qu’elle (poche)
Cette nuit-là, dans la banlieue chic de Bordeaux, Cécile, 44 ans, est réveillée par une voix familière : a Debout, il faut qu'on parle." Quelques instants après, elle est précipitée dans l'escalier de marbre de sa maison et tuée sur le coup. Aux origines du meurtre, la police le comprend très vite, il y a la liaison passionnée entre le mari de Cécile et son assistante, Raphaëlle. Liaison pour laquelle Raphaëlle a tout quitté, y compris ses enfants, métamorphosée par cet amour plus fort qu'elle. Qui a tué Cécile ? Le mari, la maîtresse ? Les deux ensemble ? Peu à peu, une manipulation parfaite se dessine sous nos yeux. Effrayante. Oppressante. Et, peut-être, fatale ?
Cap Canaille
Ancien du 36, désormais en poste à Marseille, Henri Saint-Donat est confronté à son premier "barbecue", règlement de comptes en vogue parmi les trafiquants de la cité phocéenne, qui consiste à enfermer un corps dans le coffre d'une voiture à laquelle on met le feu. Flanqué d'équipiers hauts en couleur, le commandant commence l'enquête, mais la piste de la guerre des gangs ne donne rien. Lorsque l'identité de la victime est enfin confirmée, les choses prennent un nouveau tour : Henri a connu cette personne autrefois à Paris, et elle n'avait pas du tout le profil pour finir sa vie dans une voiture incendiée par des dealers marseillais ...
Plus fort qu'elle
Cette nuit-là, dans la banlieue chic de Bordeaux, Cécile, 44 ans, est réveillée par une voix familière : a Debout, il faut qu'on parle." Quelques instants après, elle est précipitée dans l'escalier de marbre de sa maison et tuée sur le coup. Aux origines du meurtre, la police le comprend très vite, il y a la liaison passionnée entre le mari de Cécile et son assistante, Raphaëlle. Liaison pour laquelle Raphaëlle a tout quitté, y compris ses enfants, métamorphosée par cet amour plus fort qu'elle. Qui a tué Cécile ? Le mari, la maîtresse ? Les deux ensemble ? Peu à peu, une manipulation parfaite se dessine sous nos yeux. Effrayante. Oppressante. Et, peut-être, fatale ?
... jeux de vilains
"Après un dernier signe de la main, il s'empara de son briquet et enflamma la mèche. Le feu se propagea inexorablement vers le véhicule dans lequel le futur grand brûlé, s'agitant comme un fou, venait de se déboiter les poignets et tentant de se libérer. Le tueur attendit que la torche humaine cesse de hurler avant de quitter les lieux, satisfait, le sourire aux lèvres."
Jeux de mains...
Ce coup-ci n'était qu'un "essai" afin de m'assurer que je n'avais pas tout à fait perdu la main, mais, pour ma prochaine victime, je lui réserve une véritable petite œuvre d'art. Mon vieux Corduno, il va falloir te préparer à en baver grave. » Après deux années d'interruption, le tueur en série qui donnait des cauchemars au célèbre Inspecteur Principal David Corduno et à son équipe décide de refaire surface afin de poursuivre sa danse macabrement perverse. Le point commun de la sixième victime avec les précédentes ? Une nouvelle phalange emportée, mais à la main gauche, cette fois. Le sang-froid de Corduno va être mis à rude épreuve au cours de cette enquête bruxelloise ponctuée de traits d'humour et de bains de sang. Mais pourquoi le meurtrier semble-t-il si bien connaître son traqueur ?