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Mauvais cœur
1922. Dans un petit bourg du nord de la France se dresse le Familistère, un immense bâtiment de brique rouge, de verre et d'acier, où sont logés les employés des fonderies Godin et leurs familles. Une communauté ouvrière unique, fondée sur une utopie humaniste. Pourtant, ce matin-là, leur institutrice est retrouvée assassinée. Dépêché sur les lieux, …
1922. Dans un petit bourg du nord de la France se dresse le Familistère, un immense bâtiment de brique rouge, de verre et d'acier, où sont logés les employés des fonderies Godin et leurs familles. Une communauté ouvrière unique, fondée sur une utopie humaniste. Pourtant, ce matin-là, leur institutrice est retrouvée assassinée. Dépêché sur les lieux, l'imperturbable Matthias Lavau, enquêteur aux capacités remarquables, ne peut s'empêcher d'être étonné.
Quel étrange endroit, quelle drôle de façon de vivre... Alors que Matthias tente de percer les secrets du Familistère, Esther, son adjointe et la femme qu'il aime, réapparaît soudain. Esther, avec sa personnalité mystérieuse et abrupte, qui l'a quitté deux ans plus tôt sans explication. Malgré l'absence et les non-dits, elle est une alliée bienvenue dans l'élucidation du meurtre. Enfin, des meurtres, car bientôt un nouveau corps est découvert...
Le mal se serait-il introduit dans cette communauté parfaite ? Après Les Malvenus , unanimement salué par la presse et les libraires, Audrey Brière revient avec Mauvais Coeur , une sombre enquête au sein d'un lieu extraordinaire et méconnu.
Les malvenus
1917. La Première Guerre mondiale fait rage. Thomas Sorel, bras armé du très redouté maire de la commune, est retrouvé mort, égorgé dans une cave à Haut-de-Coeur, en Bourgogne. L'inspecteur Matthias Lavau, de retour au village et doté d'une mémoire prodigieuse, est chargé de l'enquête, avec son assistante Esther. En cet hiver interminable qui …
1917. La Première Guerre mondiale fait rage. Thomas Sorel, bras armé du très redouté maire de la commune, est retrouvé mort, égorgé dans une cave à Haut-de-Coeur, en Bourgogne. L'inspecteur Matthias Lavau, de retour au village et doté d'une mémoire prodigieuse, est chargé de l'enquête, avec son assistante Esther. En cet hiver interminable qui s'est abattu sur la région, ils devront démêler les racines du mal entrelacées depuis des décennies dans les passions, les vices et les secrets des habitants.
Seule la haine
Persuadé que le psychanalyste Larry Barney est responsable du suicide de son frère, Elliot le prend en otage dans son cabinet. Sous la menace d'une arme, Larry n'a pas d'autre choix que de laisser l'adolescent de 15 ans lui relater ses derniers mois. Mais très vite, c'est l'escalade de l'horreur : Larry est jeté dans un monde qui le dépasse, aux frontières de l'abject et de l'inhumanité. Tandis que les détails scabreux se succèdent, une seule idée l'obsède : celle de s'en sortir, à tout prix...
Un thriller psychologique qui va vous retourner la tête !!!
Dernière virée pour Diego
Diego aime l’insouciance et le chocolat, les fontaines, la mer et la pluie. Il ignore pourquoi, mais l’eau le fascine depuis la naissance. Encore un enfant, il passe son temps libre à jouer avec Sacha, son meilleur ami, son frère de cœur. Car l’optimisme et le jeu sont les moteurs de sa vie. Et de plus, les vacances approchent à grands pas. Mais à la veille du départ, quelque chose a changé.
Diego est intuitif et ressent ces vibrations étranges.
C’est dans l’air, comme une turbulence, une onde imperceptible qui le traverse, inquiétante et cruelle à la fois.
De ses petits yeux naïfs, Diego observe le monde qui change autour de lui. Les regards qui s’assombrissent, se noient de larmes et qui soudain le fuient.
Alors, il comprend qu’un drame vient d’arriver…
… ou qu’il est sur le point de s’abattre.
Le septième chapitre
Quand la folie imprègne l’esprit d’un auteur en mal d’inspiration, la réalité prend la forme de cauchemars.
Mais lorsque les visions se confirment, le temps n’est plus à reculer.
Car le temps presse.
La folie se trouve en chaque être. Sournoise, elle patiente, en embuscade. Et lorsqu’elle frappe, elle ne laisse aucune chance à son hôte.
J’ai été sa cible par le passé.
Dans mon délire, je suis au moins conscient de cela.
J’ignore seulement le moment où elle a donné l’assaut.
Mais elle est là, en moi. Et me ronge de l’intérieur.
La douleur est indéfinissable, mais mon instabilité bien réelle…
… et le déni, mon pire ennemi.
Il prend la forme d’un homme, un type haut et fort, accoutré comme un mauvais flic et répondant au nom de… Tak…
Un nom qui m’est connu. Comme une mauvaise farce. Qui m’interpelle et qui rend mes folies paisibles.
Mais le temps n’est plus à reculer. Car le temps presse.
Alors, je me remets à écrire.
Encore.
Toujours.