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La falaise aux suicidés
Etretat, ses falaises, ses lecteurs d'Arsène Lupin, sa mer aux couleurs du temps et ses couples romantiques enlacés sous la bruine. Attention à ne pas vous approcher trop près du bord, ce thriller glaçant risque de vous donner le vertige. Derrière la carte postale de la petite station balnéaire, belle endormie de la Côte d'Albâtre réveillée chaque week-end par des nuées de touristes, se cache un monde de passions, de secrets et de dangers.
Car le Mal rôde, satisfait d'avoir pu y commettre, depuis des décennies, des crimes parfaits. Revenue une nuit sur les lieux de son enfance pour mettre fin à ses jours, Paule Nirsen en est empêchée par une rixe au bord de la falaise. Le lendemain, une femme, Rose, est retrouvée sur les galets. Autour de Paule, les victimes s'accumulent. S'agit-il d'un tueur en série ou d'une mécanique diabolique actionnée par une confrérie ivre de revanche sociale ? Furieuse qu'on lui ait volé son suicide, Paule va mener l'enquête avec le capitaine de gendarmerie Lassire.
Ils ne seront pas trop de deux pour s'enfoncer dans les brumes épaisses de la cruauté humaine et montrer que la victoire du Mal n'est jamais inéluctable. Mais à quel prix ?
Les Désobéissantes...
La Reine Jaune
Roquebrune-sur-Argens, paisible village provençal à l’ombre d’un rocher et eldorado pour retraités. Depuis le début de la canicule, les gendarmes s’acquittent de leur mission en verbalisant les propriétaires de villa qui remplissent leur piscine, en intervenant quand les querelles de rue virent au pugilat et en enregistrant les morts par déshydratation.
Tout s’emballe lorsque quatre jeunes filles soutiennent qu’une auto-stoppeuse s’est volatilisée de leur voiture, qu’une bibliothécaire retrouve sur son bureau une biographie de Xavier Dupont de Ligonnès annotée de commentaires inquiétants et que le cadavre d’une femme couronnée de bois de cerf est découvert sur les bords de l’Endre.
Pour le capitaine Guillaume Lassire, un criminel bien plus dangereux qu’une vague de chaleur sévit dans la cité millénaire et seule son amie la chartiste Paule Nirsen peut lui venir en aide.
Entre secte occulte, mafia varoise, légendes locales ténébreuses et vieux manuscrit racontant les atrocités des guerres de Religion, la raison des deux enquêteurs va être mise à l’épreuve comme jamais auparavant.
Les crevards
Vendredi, 8 h 58. Formateur en communication, Eric s'apprête à animer par visio la dernière matinée de son séminaire. Un à un, les participants se connectent et entrent dans la salle virtuelle. Véronique, professeure harassée, désireuse de retrouver le plaisir d'enseigner. Karim, aspirant médiateur, vivant dans un habitat partagé. Kathy, ancienne salariée d'ONG, discrète et positive. Vincent, codeur rétif, sombre et revendicatif.
Anaïs, responsable commerciale, volubile et sûre d'elle. Nicolas, industriel flamboyant et charmeur, l'un des plus anciens amis d'Eric. Quand, soudain, l'un d'eux murmure d'une voix sourde : "Eric, qu'est-ce que c'est... là... derrière toi ? " Dans ce nouveau roman glaçant de réalisme, Nathalie Achard autopsie les âmes humaines et décortique la partition violente et chaotique d'une société, où chacune et chacun jouent un rôle parfaitement orchestré.
Week-end entre amis...
Un week-end "comme au bon vieux temps" pour bien manger, se reposer et picoler : c'est ce que Edouard a proposé il y a un an à ses amis de longue date, Marc, Agathe, Julien, Claire et Sylvie. Mais à peine sont-ils arrivés que d'anciennes blessures se réveillent. La tension monte, les mesquineries refont surface et les secrets que chacun s'efforce de dissimuler affleurent. L'interdiction d'aller à la cave et l'arrivée impromptue d'un voyageur achèvent de semer la zizanie dans ce groupe au bord de la rupture.
Encore un peu, et le week-end pourrait bien virer au cauchemar... Nathalie Achard signe un premier roman étouffant et anxiogène à souhait.
Week-end entre amis
C'était Edouard qui avait lancé l'idée, un soir, à l'issue d'un repas bien arrosé. Sa proposition, comme un coup de feu tiré en pleine forêt, avait immédiatement levé une nuée de cris d'enthousiasme surexcités. Passer trois jours ensemble dans sa maison de campagne, sans enfants, sans programme, comme à l'époque de leur jeunesse, juste traîner, manger à n'importe quelle heure, jouer, discuter, lire, dormir, picoler plus que de raison...
Simplement profiter. Le bon vieux temps miraculeusement ressuscité. " Un an. C'est le temps qu'il aura fallu à Edouard, Marc, Agathe, Julien, Claire et Sylvie pour organiser ce fameux week-end. Trois jours. C'est le temps qu'il suffira pour que ce séjour " comme au bon vieux temps " vire au cauchemar.
... jeux de vilains
"Après un dernier signe de la main, il s'empara de son briquet et enflamma la mèche. Le feu se propagea inexorablement vers le véhicule dans lequel le futur grand brûlé, s'agitant comme un fou, venait de se déboiter les poignets et tentant de se libérer. Le tueur attendit que la torche humaine cesse de hurler avant de quitter les lieux, satisfait, le sourire aux lèvres."
Jeux de mains...
Ce coup-ci n'était qu'un "essai" afin de m'assurer que je n'avais pas tout à fait perdu la main, mais, pour ma prochaine victime, je lui réserve une véritable petite œuvre d'art. Mon vieux Corduno, il va falloir te préparer à en baver grave. » Après deux années d'interruption, le tueur en série qui donnait des cauchemars au célèbre Inspecteur Principal David Corduno et à son équipe décide de refaire surface afin de poursuivre sa danse macabrement perverse. Le point commun de la sixième victime avec les précédentes ? Une nouvelle phalange emportée, mais à la main gauche, cette fois. Le sang-froid de Corduno va être mis à rude épreuve au cours de cette enquête bruxelloise ponctuée de traits d'humour et de bains de sang. Mais pourquoi le meurtrier semble-t-il si bien connaître son traqueur ?