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Corpus delicti
Un univers de mensonges et de manipulations machiavéliques
A Morfonds, petit village perdu de montage, oublié de tous, Claire Moréno disparaît.
Le commandant Savart mène l’enquête, aidé par son ami l’Ours, journaliste en mal de reconnaissance. Tout accuse le mari, un avocat aux desseins obscurs. Mais Xavier Moréno nie les faits et le corps de sa femme reste introuvable.
De fausses pistes en révélations troublantes, de mensonges en rebondissements, Savart perce les mystères de cette affaire sordide, pires que ses hypothèses les plus folles.
Basé sur un fait divers bien réel, ce récit au suspense constant et au dénouement hallucinant, montre que la réalité dépasse une fois de plus la fiction…
Anatomie du fait divers
De crimes sanglants en catastrophes naturelles, d'accidents toutes catégories en agressions sordides, de phénomènes anormaux en actes héroïques, le fait divers n'en finit pas de fasciner, de questionner, d'inspirer ou d'émouvoir. Il joue sur nos peurs et nos fantasmes, mais quel impact a-t-il vraiment sur nous ? Quel rôle joue-t-il dans la société ? Quels sont ses liens avec la presse, la littérature, le cinéma ? De quelles croyances, de quels mythes fait-il l'objet ? Aujourd'hui, le fait divers semble avoir envahi les médias au point de se substituer à l'information traditionnelle.
Les fake news s'en nourrissent, la télévision s'en empare. A-t-il pris une ampleur inédite grâce aux réseaux sociaux ? De l'Antiquité à nos jours, Bob Garcia nous invite à une plongée dans un univers complexe, imprévisible et multiforme pour tenter de mettre au jour l'anatomie de ces nouvelles insolites. Bob Garcia est auteur de romans policiers et chroniqueur littéraire. Tous ses polars sont tirés de faits divers réels.
Il a écrit plusieurs essais sur le polar, dont Jazz et polar et Le Polar en questions, dans lesquels il analyse les origines du polar et ses liens avec le fait divers. Son dernier polar, Corpus delicti, a reçu le prix Enquêtes et faits divers 2019.
Cannibale
Victime ou manipulatrice ? Vous avez des raisons d'avoir peur. La nuit de la fête de la musique, une jeune fille est retrouvée au bord d'une route, incohérente et désorientée, incapable de dire qui elle est. Dans la forêt toute proche, un groupe de lycéens célèbrent le début de l'été, mais l'ambiance a du mal à décoller. Ils ont participé à une course d'orientation " sans portables ni objets connectés ", et deux d'entre eux manquent à l'appel.
Personne n'a revu Roxane et Rafaël depuis le matin. A l'hôpital, l'inconnue apparue sur la route sort doucement de sa léthargie et livre au capitaine Marin ses premiers mots...
Le jour de gloire (Poche)
Dans les rues de Paris, deux adolescents sont retrouvés morts, atrocement mutilés, après avoir été longtemps séquestrés. Le mode opératoire et les similitudes physiques entre les victimes font craindre un tueur en série. L'enquête piétine car les policiers sont distraits par une affaire hors du commun qui concerne un troisième adolescent - et pas n'importe lequel : le fils du président de la République.
Pendant ce temps, à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, la commissaire Edwige Marion émerge péniblement du coma dans lequel elle a été plongée après avoir reçu une balle dans la tête. Sans trop savoir pourquoi, elle redoute le commissaire Guerry, son ancien collègue, qui rôde dans les parages et se conduit de plus en plus bizarrement. Est-il vraiment celui qu'on croit ?
Mauvaise graine
Madeleine, vieille fille quinquagénaire, erre sans but entre son travail monotone à la Sécu et sa solitude, attendant que la vie passe. Lorsqu'elle rencontre Mathieu, tout change. Le jeune garçon au regard glaçant, mû par une quête insensée d'amour maternel, la poursuit et la hante. A la fois effrayée et fascinée, Madeleine se laisse prendre au jeu d'une filiation ambiguë. Mais la mort et la folie rôdent : un psychopathe tueur de vieilles dames sévit dans l'Est parisien.
L'enquête confiée à l'équipe du commandant Valentin piétine, faute d'indices...
L'ombre des morts (Poche)
Le commissaire principal Edwige Marion dirige à Paris la police des gares et des trains, un univers glauque et déprimant. Gare du Nord, l’assassinat d’un vieux truand au cours d’un transfert qu’elle supervise vire au cauchemar. Elle est mise en cause, l’IGS ne la lâche pas, ses troupes se délitent. Elle s’en moque. Plus rien, pas même sa fille adoptive Nina, ne compte pour elle à l’exception de cet homme, Victor, avec lequel elle vit un amour fou depuis quatre mois et qui a disparu, sans explication.
Déboussolée, le commissaire Marion, au mépris de toutes les règles, décide de retourner au point de départ de son histoire avec Victor, plongeant ainsi dans l’univers des «transhumants», ces banlieusards qui avalent chaque jour des centaines de kilomètres.